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éditorial de mai 2025

Auteur : collectif - Publié le : lun. 12 mai 2025 10:27 - (505 Lectures)
Éditos








Mes grands parents étaient dotés d’un bon sens hérité de générations de rudes paysans auvergnats.
Gamin, lorsqu’ils me voyaient m’acharner à peaufiner un dessin ou un bricolage de bouts de bois, ils me trouvaient souvent déçu du résultat et me disaient alors : "Le mieux est l’ennemi du bien !".
Je ne comprenais pas le sens de ce dicton aussi je m’acharnais à corriger, biffer, raturer, surcharger puis j’abandonnais un projet inabouti, rempli d’amertume.
Il en fut de même lors de mes premières tentatives de prise de son et de mixage. Des heures durant, je bouclais sur quelques mesures, punchant, compressant, égalisant, éditant, copiant, collant, sans jamais trouver Le Son que j’appelais de mes vœux. Je me maudissais alors pour mon manque de maîtrise, d’expérience, voire de talent. Combien de projets sont ainsi tombés aux oubliettes ?
Le dicton de mes aïeux m’est alors revenu à l’esprit. Le mieux est l’ennemi du bien, c’était si vrai !
Chercher la perfection n’aboutissait qu’à me visser devant mes machines pour ne jamais en sortir un produit fini.
Je me contente désormais de faire de mon mieux avec les outils dont je dispose et quelques modestes talents, en pleine conscience des limites des premiers comme des seconds.
Et puis un autre dicton ne dit-il pas que la perfection n’est pas de ce monde ?
Tout ceci ne nous dispense pas de nous améliorer, par l’apprentissage et l’expérimentation.
Notre site a, bien sûr, fait partie de la panoplie des outils indispensables, riche d’expériences et de conseils amicaux et avisés.
Je n’aurais jamais cru qu’un dicton ancestral puisse me guider dans mes pratiques musicales sur ordinateurs mais je vous le cite à nouveau :
"Le mieux est l’ennemi du bien !"
Puisse-t-il vous être profitable !









Éditorial d'avril 2025

Auteur : collectif - Publié le : sam. 12 Apr 2025 08:25 - (943 Lectures)
Éditos










Incorrigibles galopins !
Deux éditoriaux en avril dont le premier paraissant pile le 1er du mois plutôt qu’entre le 5 et le 10, c’est inhabituel, non ?
Vous aviez deviné : le premier était un gag. Un poisson d’avril pour lequel certains membres de l’équipe se sont lâchés, prenant systématiquement le contre-pied de l’éthique et des valeurs de votre site préféré.
Voici donc le véritable éditorial d’avril 2025, alimenté par de vrais gens rédigeant de leurs mains de vraies nouvelles, sans IA ni malice, fidèles à leur pratique habituelle.
Une fois n’est pas coutume, profitons de l’occasion pour rendre hommage à cette petite équipe dont la constance à vous informer, chaque mois, depuis des années, ne s’est jamais démentie.
Saluons l’esprit désintéressé qui anime chacun de ses membres, tous mus par la haute idée qu’ils se font du bénévolat au service de notre communauté, contrairement à ce que laissait transparaître l’édito du 1er avril.
Mais si les contenus, ici, sont sérieux et avérés, rien n’empêche une pointe d’humour, une dose de fantaisie dans la tonalité d’ensemble.
Ce 1er avril, nous avons vraiment forcé le trait et, avouons-le, nous y avons pris plaisir car nous sommes aussi… d’incorrigibles galopins !
Un bon mois d’avril à toutes et tous.






Éditorial du 1er avril 2025

Auteur : collectif - Publié le : mar. 01 Apr 2025 17:19 - (876 Lectures)
Éditos
En ce mois de mars, la petite équipe de votre éditorial s’est réunie en conclave (c’est à la mode) pour statuer sur son avenir.
Très rapidement, se sont fait jour des frustrations teintées de beaucoup d’amertume.
L’un rêvait de pouvoir acquérir une rarissime guitare des années 60, l’autre voulait débuter une collection de synthés et séquenceurs des années 70-80, furent également exprimés des désirs d’I-phone 16 pro max 1To, de voitures électriques américaines rechargeables en 20 secondes, permettant 1000 kms d’autonomie, enfin, bref, avoir la même vie, les mêmes aspirations et le même confort que la majorité de nos contemporains.
Les débats furent houleux, mettant clairement en avant les carences pécuniaires du bénévolat qui fut notre seule règle pendant toutes ces années. Au final, tous les intervenants se mirent d’accord pour accepter l’entrée d’une part de publicité dans nos colonnes.
Rassurez-vous, seul l’éditorial sera remplacé par les messages d’annonceurs et l’argent ainsi collecté ne reviendra qu’aux seuls membres de l’équipe de l’édito, n’affectant ainsi aucun des autres contenus du site, dont nous garantissons l’indépendance et l’objectivité.
C’est donc, en espérant que vous comprendrez la démarche, cette annonce que dès le prochain édito, nous laisserons place à une IA, fournie par un grand nom de la discipline, entraînée sur une sélection d'éditos de musique (web, magazines spécialisés, radio et télé) qui rédigera automatiquement des rubriques de haut niveau (nos tests sont bluffants) tout en incorporant des messages publicitaires ciblés correspondant aux options d'achat, évaluées par ce modèle d'IA, selon qu'elle les jugera pertinents ou non pour notre communauté. Ainsi, même si nos futurs partenaires, systèmes propriétaires, logiciels payants, plugins sous licence, ne versent pas systématiquement dans le libre, nous ne doutons pas du bénéfice que chacun d'entre nous pourra retirer de cette somme d'informations.
Durant 20 ans, la rédaction de la main des membres de l'équipe fut une belle aventure, teintée de générosité et de camaraderie, mais la réalité nous aura rattrapés : nous manquons cruellement de rentrées d'argent.







Éditorial de mars 2025

Auteur : collectif - Publié le : dim. 09 mars 2025 21:10 - (1082 Lectures)
Éditos
J’avais un pote, Yann, avec qui je croisais dans un groupe de rock durant les années 90.
Un super guitariste. Nous étions deux complices et, lorsque nous jouions, un clin d’œil, un signe de la main, un frémissement d’orteil, une mimique déclenchaient des complicités inoubliables.
Il fut mon guide dans la maîtrise de mon instrument et mon inspirateur en matière de composition tant sa sensibilité et sa culture musicale étaient fines et d'un goût sur et avisé.
Juste avant les années 2000, nous nous sommes éloignés géographiquement, chacun a vécu sa vie.
J’ai appris plus tard, avec une infinie tristesse, qu’il avait abandonné la musique et revendu tout son matériel.
Eh bien, je viens d’avoir de ses nouvelles !
Yann consacre tout son temps libre à la polémique sur les réseaux sociaux. Polémiquer, c’est à dire engager des dialogues avec des inconnus et prendre systématiquement le contre-pied de ses interlocuteurs pour argumenter jusqu’à l’absurde, pendant des heures et des lignes et des lignes.
Une tendance que je lui connaissais déjà mais ses musiques gommaient généreusement ce petit travers.
Je préférais mon Yann musicien et je préfère mon linuxmao dont toute polémique stérile est exclue.
Musique, technique, efficacité, plaisir partagé, bienvenue chez vous !





Éditorial de février 2025

Auteur : collectif - Publié le : sam. 08 Feb 2025 21:33 - (1086 Lectures)
Éditos


Une époque formidable !
Je venais d’être viré de mon job dans l’informatique. Je jouais dans un groupe dont le bassiste et le guitariste soliste venaient de s’endetter lourdement pour acquérir cinq magasins d’instruments de musique à Pigalle. Un de percus, un d’acoustiques, un de guitares-basses-amplis, un de claviers et un de périphériques électroniques, pédales d’effets et matériels balbutiant de prise de son. Au seuil des années 90, l’offre couvrait à peu près l’ensemble de la demande du marché et, en l’absence d’offre internet, attirait tout le public de zicos de France et même d’au-delà.
Mon pote guitariste, constatant le marasme économique dans lequel je me trouvais, m’a proposé un boulot de vendeur dans son antre guitare-basses-amplis. Je lui en serai éternellement reconnaissant, merci !
Énorme perte de salaire, plus de statut cadre, mais que du plaisir. Premiers jours passés à compacter des cartons d’emballage de guitares, les porter à la benne, ranger l’arrière-boutique, trier les pièces détachées accumulées depuis des années, passer l’aspiro deux fois par jour, vider les innombrables cendriers et, pour finir la journée, porter les plis à La Poste. Apprentissage, initiation.
Et, petit à petit, observer les petits trucs de mon pote et, en cachette, m’entraîner à les reproduire. Des trucs bêtes comme suspendre d’une seule main une guitare à une patère fixée à 2,50 mètres de haut, la classe ! Faire sonner une guitare médiocre sur un ampli bas de gamme. Convaincre un papa que le matériel en question sera la meilleure approche pour initier son rejeton au rock’n’roll.
Et puis, d’initiations en initiations, mon pote m’a petit à petit laissé les rênes pour driver des clients plus sensibles, plus pros.
Les grosses têtes firent exception, la plupart étant des gens sérieux, humbles et modestes.
Je me souviens de… et de…
Peut-être pas le plus beau mais, certainement, le souvenir le plus marquant de ma vie : ne côtoyer que des musiciens, ne penser que musique, agir musique.







Éditorial de janvier 2025

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 09 Jan 2025 10:00 - (887 Lectures)
Éditos

Quel boulot !
En une nuit, parcourir la planète en traîneau volant, trouver une place de parking, garer l’engin tiré par des rennes au caractère imprévisible, charger la hotte en faisant bien gaffe à ne pas se tromper de destinataire, escalader des façades, redescendre par les cheminées, ne pas se tromper de paire de godasses, y déposer les cadeaux délicatement puis se taper le chemin en sens inverse. Vous avez déjà escaladé un conduit de chauffage central, vous ? Ben avec mon embonpoint, je peux vous dire que ça n’est pas une mince affaire. Surtout affublé d’un costume ridicule, une vraie étuve, en plus !
Tout ça en une seule nuit, répété des milliards et des milliards de fois.
Je vais encore devoir prendre une année complète de repos afin de m’en remettre, autant que possible. Rien que de penser à décembre 2025, j’en ai déjà des sueurs froides !
Si mon année à moi sera consacrée à ce repos bien mérité, je vous souhaite le meilleur pour votre année 2025, que vous réalisiez vos plus beaux rêves, surtout s’ils sont musicaux, que vous traversiez ces 12 mois en pétant la santé, la joie et la bonne humeur !
BONNE ANNÉE À TOUTES ET TOUS de la part de toute l’équipe !



Éditorial de décembre 2024

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 12 Dec 2024 20:43 - (1211 Lectures)
Éditos









Au supermarché où je fais mes courses, il y a un rayon librairie-presse. En flânant, je parcourais les titres de revues de moto lorsque mon regard a accroché la couverture d’un fameux magazine musical. Je n’avais plus acheté cette revue depuis… 30 ans au moins, je ne savais même pas qu’elle avait survécu au rap, à l’électro, à tout ce qui a supplanté le rock et le folk.
La photo de une affichait un portrait hirsute du chanteur de The Cure : Robert Smith. Petit assaut de nostalgie, j’ai glissé le magazine entre conserves et bouteilles de soda, au fond de mon caddie.
Depuis quelques mois, deux des caisses sont tenues par des dames d’un age certain qui complètent ainsi, sans doute, une maigre retraite. La dame scanne mes achats et passe donc la revue sur l’oeil de la machine. Elle me dit alors avoir vu The Cure aux arènes de Fréjus fin 80, début 90 et que c’était super, vraiment une autre époque.
Je suis resté bouche bée car je venais de mesurer à quel point le temps a passé vite. Cette dame me paraissait si agée que je ne m’associais ni à sa génération ni à ses goûts musicaux. De là à supposer qu’aujourd’hui les maisons de retraite groovent au son du rock’n’roll et de la pop, il n’y a qu’un pas.
Et oui, j’ai vieilli, nous vieillissons tous, de secondes en secondes, de jours en jours, d’années en années mais tant que notre désir de musique restera intact, le sel de la vie ne nous fera jamais défaut.
Bonne fêtes de fin d’année à vous toutes et tous !




Éditorial de novembre 2024

Auteur : collectif - Publié le : mer. 06 Nov 2024 17:25 - (211306 Lectures)
Éditos



C’est une chose que de pratiquer au quotidien la plomberie, c’en est une autre que de réparer, occasionnellement, une fuite de robinet. Depuis ma dernière intervention sur mon réseau d’eau, j’ai tout oublié des normes, des diamètres, des emboîtements mâle-femelle, des angles de coudage et, bien sûr, des coups de main à prendre et autres astuces permettant de gagner en temps et en qualité.
Alors je cherche, je passe des heures à visionner des tutos, je recule l’échéance tandis que monte l’anxiété.
Eh bien, cette angoisse envahissante me rappelle quelques souvenirs de tracs monstrueux précédant les prestations musicales en public. Cette forme de peur paralysante qui fait se demander ce que nous faisons ici, pourquoi nous nous sommes embarqués dans cette galère et à quel point nous avons étés idiots de contracter cet engagement.
Chacun réagit à sa manière, face au trac. Je me souviens de l’un de mes batteurs qui demandait, avant de monter sur scène, que nous lui étirions les bras, un pied appuyé sur son épaule. Un tromboniste qui mimait sa gestuelle à grand coups de coulisse mais ne produisait aucun son. Les demis de vin rouge qui se succédaient à un rythme infernal, mon guitariste que l’on entendait distinctement qu’à partir du troisième morceau…
Sans doute, le fait de tourner régulièrement atténue-t-il le phénomène puis permet de – plus ou moins - l’apprivoiser. Mais si, comme la plomberie, le passage sur scène n’est qu’occasionnel, alors le trac sera là, bien présent, vecteur de tous ces épi-phénomènes si déplaisants.
Et puis le show débute, avec quelques ratés au démarrage, l’ambiance monte progressivement et le trac se dilue dans le plaisir de jouer, de partager. Et on voudrait alors que le spectacle se prolonge à l’infini…
Camarades traqueux, je pense bien à vous et vous adresse tous mes encouragements !







Éditorial d'octobre 2024

Auteur : collectif - Publié le : lun. 07 Oct 2024 18:28 - (1301 Lectures)
Éditos






C’était à la charnière des années 2010.
J’avais, à l’époque, monté un atelier-galerie de peinture et de sculpture. Mon but n’était pas de faire fortune mais plutôt de me fondre dans un petit vivier de talents locaux. Rencontrer quelques artistes, proclamés ou non, de bonne volonté, et, pourquoi pas, trouver quelques complices un peu rock’n’roll prêts à faire un bout de chemin vers un univers un peu alternatif, détaché des habituelles contingences du marché.
Le fils d’une amie, lui-même infographiste, m’avait branché sur un séminaire organisé par une prof de marketing d’une grande école de commerce de la ville. Plaquettes et entretiens flatteurs, amphithéatres confortables, conférenciers prestigieux, alors pourquoi pas ?
Je m’y étais inscrit et j’en avais suivi les nombreuses sessions, étalées sur six mois de présence hebdomadaire.
Le cursus avait débouché sur une méga expo, avec pour seul cahier des charges d’offrir au moins une œuvre de son cru et d’accepter d’être affiché en pied sur d’immenses bannières qui ornaient lampadaires et emplacements publicitaires dans toute la ville.
Expo sur les quais du fleuve, relayée par la presse et autres médias locaux tels France 3, avec inauguration où furent convoquées les élites locales. Sur les quelques dizaines de participants, des œuvres nombreuses furent présentées au public puis disparurent à jamais sans qu’aucun d’entre nous n’ait jamais obtenu une quelconque gratification pour son travail ni aucun contrôle sur la réappropriation de leur production, à jamais disparue.
Par contre, l’expérience a fait l’objet d’une énorme campagne publicitaire pour cette école de commerce, la prof a publié son deuxième bouquin relatant l’expérience et la ville s’enorgueillit toujours, dans sa com, de cette expo collective qui avait marqué les esprits tant le public de badauds avait été dense durant ce week-end ensoleillé.
L’impression qui me reste de cette expérience est celle d’un bizness-roi qui aura tondu la laine sur le dos des artistes avec des intentions qui n’avaient rien à voir avec les messages que nous autres, créateurs, souhaitions adresser à ce public de flâneurs.
Une petite histoire pleine de naïveté, sans doute, mais aussi une leçon de vie.
Une petite histoire qui pourrait également être transposée dans le milieu de la musique vivante voire enregistrée, diffusée, dans quelles conditions, au profit de qui ?
Croyez en votre talent, ne cédez jamais au son des sirènes, évitez les aigrefins et, surtout, persévérez, même si le succès ne vous récompense pas immédiatement, patientez, travaillez !



Éditorial de septembre 2024

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 05 Sep 2024 18:28 - (1351 Lectures)
Éditos

Boîtes aux lettres envahies de prospectus pour cahiers, stylos ou cartables ; rues à nouveau irriguées du flot dense des bagnoles, piétons, trottinettes et autres engins à roues ; inconnus ayant troqué shorts et tee-shirts bariolés pour de stricts vêtements professionnels ; valse des caddies sur les parkings des supermarchés ; transports en commun gavés de foules captivées par leurs écrans divers ; pas de doute, c’est la rentrée !
Gamin, cet épisode de retour à la routine me plombait le moral, m’emplissait d’une sombre mélancolie après l’enthousiasme, les couleurs et les fantaisies de la pause estivale.
Avec le temps, cette mélancolie s’est estompée, bien sûr, mais des réminiscences ponctuent toujours mes mois de septembre. Dans ces moments là, j’évoque la joie des retrouvailles, le jour du retour à la maison, avec les machines et instruments qui n’avaient pas pu suivre la transhumance, trop lourds, trop encombrants ou trop nombreux.
Si comme moi vous ressentez de temps à autre un petit coup de blues lors de ce mois de rentrée, dites-vous plutôt que vous avez à nouveau à disposition l’ensemble de vos outils, que vous êtes totalement opérationnels et que vous avez donc devant vous onze mois pour créer, progresser, en bref pour renouer tout ce qui fait votre bonheur de musicien.
Alors je vous souhaite à tous, sans ironie et sans arrière-pensée, une bonne rentrée 2024 !





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allany, 10:35, lun. 12 mai 2025: Et pour la totale, l'éditorial ! [Lien]
olinuxx, 12:25, jeu. 08 mai 2025: [ANNONCE] Le live de LibraZiK-4 est de retour ! [Lien]
calixtus06, 08:02, lun. 05 mai 2025: Bonjour et bienvenue à jipe35 et Bachila :-)
calixtus06, 14:59, lun. 28 Apr 2025: Bonjour et bienvenue à jpl :-)
calixtus06, 12:57, mar. 22 Apr 2025: Bonjour et bienvenue à Ardii,sgio et Gilles13 :-)
allany, 08:30, sam. 12 Apr 2025: Celui-ci, d'éditoriel, il est bien réel ! [Lien]
calixtus06, 16:39, lun. 07 Apr 2025: Bonjour et bienvenue à Saanvis754 :-)
calixtus06, 08:37, lun. 07 Apr 2025: Bonjour et bienvenue à skamoss et à lecapitainecoeur :-)
allany, 17:27, mar. 01 Apr 2025: Il est sensationnel cet éditoriel ! [Lien]
calixtus06, 13:04, dim. 30 mars 2025: Bonjour et bienvenue à MarM et gor :-)
olinuxx, 15:45, mer. 26 mars 2025: [ANNONCE] LibraZiK a fini de déménager depuis TuxFamily vers Ouvaton : [Lien] . Grand merci à toutes ces personnes qui ont aidé !
calixtus06, 10:29, lun. 24 mars 2025: Bonjour et bienvenue à adhooge :-)