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Éditorial de mars 2025

Auteur : collectif - Publié le : dim. 09 mars 2025 21:10 - (804 Lectures)
Éditos

J’avais un pote, Yann, avec qui je croisais dans un groupe de rock durant les années 90.
Un super guitariste. Nous étions deux complices et, lorsque nous jouions, un clin d’œil, un signe de la main, un frémissement d’orteil, une mimique déclenchaient des complicités inoubliables.
Il fut mon guide dans la maîtrise de mon instrument et mon inspirateur en matière de composition tant sa sensibilité et sa culture musicale étaient fines et d'un goût sur et avisé.
Juste avant les années 2000, nous nous sommes éloignés géographiquement, chacun a vécu sa vie.
J’ai appris plus tard, avec une infinie tristesse, qu’il avait abandonné la musique et revendu tout son matériel.
Eh bien, je viens d’avoir de ses nouvelles !
Yann consacre tout son temps libre à la polémique sur les réseaux sociaux. Polémiquer, c’est à dire engager des dialogues avec des inconnus et prendre systématiquement le contre-pied de ses interlocuteurs pour argumenter jusqu’à l’absurde, pendant des heures et des lignes et des lignes.
Une tendance que je lui connaissais déjà mais ses musiques gommaient généreusement ce petit travers.
Je préférais mon Yann musicien et je préfère mon linuxmao dont toute polémique stérile est exclue.
Musique, technique, efficacité, plaisir partagé, bienvenue chez vous !





Éditorial de février 2025

Auteur : collectif - Publié le : sam. 08 Feb 2025 21:33 - (869 Lectures)
Éditos


Une époque formidable !
Je venais d’être viré de mon job dans l’informatique. Je jouais dans un groupe dont le bassiste et le guitariste soliste venaient de s’endetter lourdement pour acquérir cinq magasins d’instruments de musique à Pigalle. Un de percus, un d’acoustiques, un de guitares-basses-amplis, un de claviers et un de périphériques électroniques, pédales d’effets et matériels balbutiant de prise de son. Au seuil des années 90, l’offre couvrait à peu près l’ensemble de la demande du marché et, en l’absence d’offre internet, attirait tout le public de zicos de France et même d’au-delà.
Mon pote guitariste, constatant le marasme économique dans lequel je me trouvais, m’a proposé un boulot de vendeur dans son antre guitare-basses-amplis. Je lui en serai éternellement reconnaissant, merci !
Énorme perte de salaire, plus de statut cadre, mais que du plaisir. Premiers jours passés à compacter des cartons d’emballage de guitares, les porter à la benne, ranger l’arrière-boutique, trier les pièces détachées accumulées depuis des années, passer l’aspiro deux fois par jour, vider les innombrables cendriers et, pour finir la journée, porter les plis à La Poste. Apprentissage, initiation.
Et, petit à petit, observer les petits trucs de mon pote et, en cachette, m’entraîner à les reproduire. Des trucs bêtes comme suspendre d’une seule main une guitare à une patère fixée à 2,50 mètres de haut, la classe ! Faire sonner une guitare médiocre sur un ampli bas de gamme. Convaincre un papa que le matériel en question sera la meilleure approche pour initier son rejeton au rock’n’roll.
Et puis, d’initiations en initiations, mon pote m’a petit à petit laissé les rênes pour driver des clients plus sensibles, plus pros.
Les grosses têtes firent exception, la plupart étant des gens sérieux, humbles et modestes.
Je me souviens de… et de…
Peut-être pas le plus beau mais, certainement, le souvenir le plus marquant de ma vie : ne côtoyer que des musiciens, ne penser que musique, agir musique.







Éditorial de janvier 2025

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 09 Jan 2025 10:00 - (653 Lectures)
Éditos

Quel boulot !
En une nuit, parcourir la planète en traîneau volant, trouver une place de parking, garer l’engin tiré par des rennes au caractère imprévisible, charger la hotte en faisant bien gaffe à ne pas se tromper de destinataire, escalader des façades, redescendre par les cheminées, ne pas se tromper de paire de godasses, y déposer les cadeaux délicatement puis se taper le chemin en sens inverse. Vous avez déjà escaladé un conduit de chauffage central, vous ? Ben avec mon embonpoint, je peux vous dire que ça n’est pas une mince affaire. Surtout affublé d’un costume ridicule, une vraie étuve, en plus !
Tout ça en une seule nuit, répété des milliards et des milliards de fois.
Je vais encore devoir prendre une année complète de repos afin de m’en remettre, autant que possible. Rien que de penser à décembre 2025, j’en ai déjà des sueurs froides !
Si mon année à moi sera consacrée à ce repos bien mérité, je vous souhaite le meilleur pour votre année 2025, que vous réalisiez vos plus beaux rêves, surtout s’ils sont musicaux, que vous traversiez ces 12 mois en pétant la santé, la joie et la bonne humeur !
BONNE ANNÉE À TOUTES ET TOUS de la part de toute l’équipe !



Éditorial de décembre 2024

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 12 Dec 2024 20:43 - (994 Lectures)
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Au supermarché où je fais mes courses, il y a un rayon librairie-presse. En flânant, je parcourais les titres de revues de moto lorsque mon regard a accroché la couverture d’un fameux magazine musical. Je n’avais plus acheté cette revue depuis… 30 ans au moins, je ne savais même pas qu’elle avait survécu au rap, à l’électro, à tout ce qui a supplanté le rock et le folk.
La photo de une affichait un portrait hirsute du chanteur de The Cure : Robert Smith. Petit assaut de nostalgie, j’ai glissé le magazine entre conserves et bouteilles de soda, au fond de mon caddie.
Depuis quelques mois, deux des caisses sont tenues par des dames d’un age certain qui complètent ainsi, sans doute, une maigre retraite. La dame scanne mes achats et passe donc la revue sur l’oeil de la machine. Elle me dit alors avoir vu The Cure aux arènes de Fréjus fin 80, début 90 et que c’était super, vraiment une autre époque.
Je suis resté bouche bée car je venais de mesurer à quel point le temps a passé vite. Cette dame me paraissait si agée que je ne m’associais ni à sa génération ni à ses goûts musicaux. De là à supposer qu’aujourd’hui les maisons de retraite groovent au son du rock’n’roll et de la pop, il n’y a qu’un pas.
Et oui, j’ai vieilli, nous vieillissons tous, de secondes en secondes, de jours en jours, d’années en années mais tant que notre désir de musique restera intact, le sel de la vie ne nous fera jamais défaut.
Bonne fêtes de fin d’année à vous toutes et tous !




Éditorial de novembre 2024

Auteur : collectif - Publié le : mer. 06 Nov 2024 17:25 - (96846 Lectures)
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C’est une chose que de pratiquer au quotidien la plomberie, c’en est une autre que de réparer, occasionnellement, une fuite de robinet. Depuis ma dernière intervention sur mon réseau d’eau, j’ai tout oublié des normes, des diamètres, des emboîtements mâle-femelle, des angles de coudage et, bien sûr, des coups de main à prendre et autres astuces permettant de gagner en temps et en qualité.
Alors je cherche, je passe des heures à visionner des tutos, je recule l’échéance tandis que monte l’anxiété.
Eh bien, cette angoisse envahissante me rappelle quelques souvenirs de tracs monstrueux précédant les prestations musicales en public. Cette forme de peur paralysante qui fait se demander ce que nous faisons ici, pourquoi nous nous sommes embarqués dans cette galère et à quel point nous avons étés idiots de contracter cet engagement.
Chacun réagit à sa manière, face au trac. Je me souviens de l’un de mes batteurs qui demandait, avant de monter sur scène, que nous lui étirions les bras, un pied appuyé sur son épaule. Un tromboniste qui mimait sa gestuelle à grand coups de coulisse mais ne produisait aucun son. Les demis de vin rouge qui se succédaient à un rythme infernal, mon guitariste que l’on entendait distinctement qu’à partir du troisième morceau…
Sans doute, le fait de tourner régulièrement atténue-t-il le phénomène puis permet de – plus ou moins - l’apprivoiser. Mais si, comme la plomberie, le passage sur scène n’est qu’occasionnel, alors le trac sera là, bien présent, vecteur de tous ces épi-phénomènes si déplaisants.
Et puis le show débute, avec quelques ratés au démarrage, l’ambiance monte progressivement et le trac se dilue dans le plaisir de jouer, de partager. Et on voudrait alors que le spectacle se prolonge à l’infini…
Camarades traqueux, je pense bien à vous et vous adresse tous mes encouragements !







Éditorial d'octobre 2024

Auteur : collectif - Publié le : lun. 07 Oct 2024 18:28 - (1149 Lectures)
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C’était à la charnière des années 2010.
J’avais, à l’époque, monté un atelier-galerie de peinture et de sculpture. Mon but n’était pas de faire fortune mais plutôt de me fondre dans un petit vivier de talents locaux. Rencontrer quelques artistes, proclamés ou non, de bonne volonté, et, pourquoi pas, trouver quelques complices un peu rock’n’roll prêts à faire un bout de chemin vers un univers un peu alternatif, détaché des habituelles contingences du marché.
Le fils d’une amie, lui-même infographiste, m’avait branché sur un séminaire organisé par une prof de marketing d’une grande école de commerce de la ville. Plaquettes et entretiens flatteurs, amphithéatres confortables, conférenciers prestigieux, alors pourquoi pas ?
Je m’y étais inscrit et j’en avais suivi les nombreuses sessions, étalées sur six mois de présence hebdomadaire.
Le cursus avait débouché sur une méga expo, avec pour seul cahier des charges d’offrir au moins une œuvre de son cru et d’accepter d’être affiché en pied sur d’immenses bannières qui ornaient lampadaires et emplacements publicitaires dans toute la ville.
Expo sur les quais du fleuve, relayée par la presse et autres médias locaux tels France 3, avec inauguration où furent convoquées les élites locales. Sur les quelques dizaines de participants, des œuvres nombreuses furent présentées au public puis disparurent à jamais sans qu’aucun d’entre nous n’ait jamais obtenu une quelconque gratification pour son travail ni aucun contrôle sur la réappropriation de leur production, à jamais disparue.
Par contre, l’expérience a fait l’objet d’une énorme campagne publicitaire pour cette école de commerce, la prof a publié son deuxième bouquin relatant l’expérience et la ville s’enorgueillit toujours, dans sa com, de cette expo collective qui avait marqué les esprits tant le public de badauds avait été dense durant ce week-end ensoleillé.
L’impression qui me reste de cette expérience est celle d’un bizness-roi qui aura tondu la laine sur le dos des artistes avec des intentions qui n’avaient rien à voir avec les messages que nous autres, créateurs, souhaitions adresser à ce public de flâneurs.
Une petite histoire pleine de naïveté, sans doute, mais aussi une leçon de vie.
Une petite histoire qui pourrait également être transposée dans le milieu de la musique vivante voire enregistrée, diffusée, dans quelles conditions, au profit de qui ?
Croyez en votre talent, ne cédez jamais au son des sirènes, évitez les aigrefins et, surtout, persévérez, même si le succès ne vous récompense pas immédiatement, patientez, travaillez !



Éditorial de septembre 2024

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 05 Sep 2024 18:28 - (1228 Lectures)
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Boîtes aux lettres envahies de prospectus pour cahiers, stylos ou cartables ; rues à nouveau irriguées du flot dense des bagnoles, piétons, trottinettes et autres engins à roues ; inconnus ayant troqué shorts et tee-shirts bariolés pour de stricts vêtements professionnels ; valse des caddies sur les parkings des supermarchés ; transports en commun gavés de foules captivées par leurs écrans divers ; pas de doute, c’est la rentrée !
Gamin, cet épisode de retour à la routine me plombait le moral, m’emplissait d’une sombre mélancolie après l’enthousiasme, les couleurs et les fantaisies de la pause estivale.
Avec le temps, cette mélancolie s’est estompée, bien sûr, mais des réminiscences ponctuent toujours mes mois de septembre. Dans ces moments là, j’évoque la joie des retrouvailles, le jour du retour à la maison, avec les machines et instruments qui n’avaient pas pu suivre la transhumance, trop lourds, trop encombrants ou trop nombreux.
Si comme moi vous ressentez de temps à autre un petit coup de blues lors de ce mois de rentrée, dites-vous plutôt que vous avez à nouveau à disposition l’ensemble de vos outils, que vous êtes totalement opérationnels et que vous avez donc devant vous onze mois pour créer, progresser, en bref pour renouer tout ce qui fait votre bonheur de musicien.
Alors je vous souhaite à tous, sans ironie et sans arrière-pensée, une bonne rentrée 2024 !





Éditorial d'août 2024

Auteur : collectif - Publié le : mar. 06 Aug 2024 10:36 - (2293 Lectures)
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Musiciens, comme je vous envie !
Je suis un éternel dilettante. Les leçons de piano, lorsque j’étais môme, m’ont à jamais éloigné du solfège après une année passée aux côtés d’une dame austère qui m’abreuvait de dictées musicales et autres exercices abstraits (c’est ainsi que je le ressentais) plus rébarbatifs les uns que les autres.
J’étais juste un gosse impatient de pouvoir enfin poser ses doigts sur le clavier et de produire du son. Un an à reluquer avec envie ce couvercle de bois désespérément clos. Ce qui devait arriver se produisit et bien sûr, après 12 mois de calvaire je demandais à mes parents de me désinscrire, à jamais dégoûté du solfège et de la théorie musicale. Blocage.
Vers 14 ans, ma grand-mère m’offrit clandestinement une petite guitare classique sur laquelle, avec l’aide de potes plus avancés que moi, j’appris les accords et les doigtés, à l’oreille, évidemment incapable de déchiffrer une partition. Quelques tablatures secourables complétèrent cet apprentissage.
Les années ont passé et, de paliers en paliers, j’ai lentement progressé avec quelques joies et pas mal de frustrations, souvent liées à mon absence de compréhension analytique de ce que j’écoutais.
Puis vint l’ère des machines, du numérique, de MIDI et mes lacunes se révélaient cruellement face aux séquenceurs et autres boîtes à rythmes. J’ai perdu un temps fou à comprendre ou à programmer, toujours dû à mon manque de bases théoriques.
Alors vous qui lisez une partition comme une note de service, qui "entendez" la mélodie et le rythme au fur et à mesure de votre déchiffrage, oui, je vous envie !
Mais l’histoire de la musique populaire fait aussi la part belle aux autodidactes et les outils collaboratifs dont nous disposons ici, enrichis de toute l’aide de notre communauté, permettent à chacun, pour peu de la motivation soit présente, de concrétiser ses idéaux musicaux.
Cadors du solfège, gratteux autodidactes, percussionnistes de coin de table, chanteurs de karaoké, programmeurs virtuoses, un bel été à vous tous et que vive la musique libre !







Éditorial de juillet 2024

Auteur : collectif - Publié le : ven. 12 Jul 2024 08:45 - (2085 Lectures)
Éditos
Gamin, je voulais devenir luthier. Mais, à mon époque, les parents rêvaient souvent, pour leur progéniture, d’études supérieures et de carrières de cols blancs ou de professions libérales. Va donc pour les études et le renoncement aux travaux manuels.
Puis, rattrapé par les crises et le chômage, je me suis retrouvé à vendre guitares et amplis et surtout, à régler, réparer, refaire une beauté, dans l’arrière boutique, aux instruments des clients.
Le virus m’avait rattrapé et les sourires ravis des guitaristes, lorsqu’ils ouvraient leur étui, étaient autant d’encouragements que de récompenses.
Maintenant, enfin maître de mon temps, je récupère, je cherche des pièces, j’achète, je revends, j’assemble, je nettoie, je peins, je vernis, je ponce, je polis et je règle mes guitares idéales. A l’occasion de ces nombreux échanges, j’ai découvert que j’étais loin d’être seul à être animé par cette passion et les échanges de photos, de conseils et de compétences se sont multipliés entre membres de cette communauté.
Et voilà ! Une autre appartenance à un club aussi solidaire, aussi partageur, aussi réactif, aussi passionnant et riche de savoirs que linuxmao.
Linuxmao qui ne prend jamais de vacances mais qui souhaite à tous ses membres un bel été musical et ensoleillé. Gardez la passion !




Éditorial de juin 2024

Auteur : collectif - Publié le : mar. 11 Jun 2024 08:31 - (20946 Lectures)
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Jean et Louis, une paire de vieux amis inséparables. Deux retraités qui n’auraient laissé passer à aucun prix une journée sans établir un contact. Visites réciproques, appels téléphoniques, apéros partagés en terrasse, toutes occasions de mixer leurs passions réciproques.
Jean avait passé sa vie sur le bord des circuits de Grands Prix moto, en tant que mécanicien-préparateur. Il trouvait en Louis un autre passionné de deux roues puisque ce dernier collectionnait les motos anciennes et circulait, le plus souvent possible, sur l’une de ses montures.
Louis, quand à lui, avait exercé en tant que guitariste-accompagnateur. Jean ne se lassait jamais d’entendre les anecdotes qui illustraient l’histoire du rock’n’roll français, version Louis.
Les visites au domicile de l’un ou de l’autre donnaient régulièrement lieu à de mini-brouilles.
Jean reprochait à son ami le "foutoir" qui régnait chez lui, un modeste deux-pièces envahi d’instruments de toutes tailles, de toutes sortes, d’amplis, de machines diverses et de câbles dans lesquels il emmêlait régulièrement ses épaisses bottes de motard.
Louis râlait lorsqu’il se rendait chez Jean, indisposé par les émanations d’hydrocarbures, l’omniprésence du cambouis, l’envahissement de l’espace vital par les outils de mécanique, les composants de moteurs démontés et la propension de tout ce bazar à vous tamponner les vêtements de traînées noires et grasses.
Dès le deuxième verre, les fâcheries se calmaient pour laisser à nouveau place aux échanges de souvenirs, tous plus flamboyants les uns que les autres.
À 80 ans passés, les deux amis étaient demeurés célibataires, leurs passions dévorantes n’ayant consenti aucune place à la romance, et leurs quelques tentatives de partager leurs espaces exclusifs, sans compromis, avec une compagne s’étant soldées par de bruyantes scènes suivies de claquages de portes sans retours.
Sans beaucoup de regrets, m’avaient-ils confessé, l’un comme l’autre, lors d’une soirée nonchalante à la terrasse d’une guinguette de bord de mer.
Est-ce donc là le prix à payer pour vivre pleinement sa passion ?
Je vous laisse en décider...





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olinuxx, 15:45, mer. 26 mars 2025: [ANNONCE] LibraZiK a fini de déménager depuis TuxFamily vers Ouvaton : [Lien] . Grand merci à toutes ces personnes qui ont aidé !
calixtus06, 10:29, lun. 24 mars 2025: Bonjour et bienvenue à adhooge :-)
allany, 20:52, sam. 22 mars 2025: @Milo : une fois connecté, tu peux joindre un membre par la messagerie via "mon linuxmao"
Milo, 12:11, sam. 22 mars 2025: Est-ce qu'il y a un moyen de contacter cette personne : dharanamrs Je trouve pas comment on se contacte entre utilisateur·ice du forum? Merci
calixtus06, 10:20, ven. 21 mars 2025: Bonjour et bienvenue à Milo, Soileh, Bot et Manfred :-)
sub26nico, 21:28, lun. 17 mars 2025: Bonjour Milo,Utilise le forum pour poser des questions, tu y trouveras plus de réponses.
Milo, 16:01, lun. 17 mars 2025: Bonjour, j'ai acheter 2 mini claviers un arturia et un akai je n'arrive pas à les configurer cherche de l'aide, svp Belle journée
olinuxx, 08:59, dim. 16 mars 2025: Bonjour Soileh. Utilise le forum pour poser des questions.
Soileh, 15:32, sam. 15 mars 2025: Bonjour, comment encoder l'ISRC qu'on nous a transmis pour un mp3 ou mp4 avant de les poster sur youtube, spotify etc? Ceci afin d'enfin peut-être un jour toucher des royalties...???! Merci
calixtus06, 20:10, lun. 10 mars 2025: Bonjour et bienvenue à ericmao91 :-)
bluedid29, 22:22, dim. 09 mars 2025: Merci pour l'édito !
allany, 21:15, dim. 09 mars 2025: Ben voilà... La vie c'est pas si mal tant qu'y a l'éditorial ! [Lien]