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Éditorial de novembre 2024

Auteur : collectif - Publié le : mer. 06 Nov 2024 17:25 - (36550 Lectures)
Éditos



C’est une chose que de pratiquer au quotidien la plomberie, c’en est une autre que de réparer, occasionnellement, une fuite de robinet. Depuis ma dernière intervention sur mon réseau d’eau, j’ai tout oublié des normes, des diamètres, des emboîtements mâle-femelle, des angles de coudage et, bien sûr, des coups de main à prendre et autres astuces permettant de gagner en temps et en qualité.
Alors je cherche, je passe des heures à visionner des tutos, je recule l’échéance tandis que monte l’anxiété.
Eh bien, cette angoisse envahissante me rappelle quelques souvenirs de tracs monstrueux précédant les prestations musicales en public. Cette forme de peur paralysante qui fait se demander ce que nous faisons ici, pourquoi nous nous sommes embarqués dans cette galère et à quel point nous avons étés idiots de contracter cet engagement.
Chacun réagit à sa manière, face au trac. Je me souviens de l’un de mes batteurs qui demandait, avant de monter sur scène, que nous lui étirions les bras, un pied appuyé sur son épaule. Un tromboniste qui mimait sa gestuelle à grand coups de coulisse mais ne produisait aucun son. Les demis de vin rouge qui se succédaient à un rythme infernal, mon guitariste que l’on entendait distinctement qu’à partir du troisième morceau…
Sans doute, le fait de tourner régulièrement atténue-t-il le phénomène puis permet de – plus ou moins - l’apprivoiser. Mais si, comme la plomberie, le passage sur scène n’est qu’occasionnel, alors le trac sera là, bien présent, vecteur de tous ces épi-phénomènes si déplaisants.
Et puis le show débute, avec quelques ratés au démarrage, l’ambiance monte progressivement et le trac se dilue dans le plaisir de jouer, de partager. Et on voudrait alors que le spectacle se prolonge à l’infini…
Camarades traqueux, je pense bien à vous et vous adresse tous mes encouragements !







Éditorial d'octobre 2024

Auteur : collectif - Publié le : lun. 07 Oct 2024 18:28 - (744 Lectures)
Éditos






C’était à la charnière des années 2010.
J’avais, à l’époque, monté un atelier-galerie de peinture et de sculpture. Mon but n’était pas de faire fortune mais plutôt de me fondre dans un petit vivier de talents locaux. Rencontrer quelques artistes, proclamés ou non, de bonne volonté, et, pourquoi pas, trouver quelques complices un peu rock’n’roll prêts à faire un bout de chemin vers un univers un peu alternatif, détaché des habituelles contingences du marché.
Le fils d’une amie, lui-même infographiste, m’avait branché sur un séminaire organisé par une prof de marketing d’une grande école de commerce de la ville. Plaquettes et entretiens flatteurs, amphithéatres confortables, conférenciers prestigieux, alors pourquoi pas ?
Je m’y étais inscrit et j’en avais suivi les nombreuses sessions, étalées sur six mois de présence hebdomadaire.
Le cursus avait débouché sur une méga expo, avec pour seul cahier des charges d’offrir au moins une œuvre de son cru et d’accepter d’être affiché en pied sur d’immenses bannières qui ornaient lampadaires et emplacements publicitaires dans toute la ville.
Expo sur les quais du fleuve, relayée par la presse et autres médias locaux tels France 3, avec inauguration où furent convoquées les élites locales. Sur les quelques dizaines de participants, des œuvres nombreuses furent présentées au public puis disparurent à jamais sans qu’aucun d’entre nous n’ait jamais obtenu une quelconque gratification pour son travail ni aucun contrôle sur la réappropriation de leur production, à jamais disparue.
Par contre, l’expérience a fait l’objet d’une énorme campagne publicitaire pour cette école de commerce, la prof a publié son deuxième bouquin relatant l’expérience et la ville s’enorgueillit toujours, dans sa com, de cette expo collective qui avait marqué les esprits tant le public de badauds avait été dense durant ce week-end ensoleillé.
L’impression qui me reste de cette expérience est celle d’un bizness-roi qui aura tondu la laine sur le dos des artistes avec des intentions qui n’avaient rien à voir avec les messages que nous autres, créateurs, souhaitions adresser à ce public de flâneurs.
Une petite histoire pleine de naïveté, sans doute, mais aussi une leçon de vie.
Une petite histoire qui pourrait également être transposée dans le milieu de la musique vivante voire enregistrée, diffusée, dans quelles conditions, au profit de qui ?
Croyez en votre talent, ne cédez jamais au son des sirènes, évitez les aigrefins et, surtout, persévérez, même si le succès ne vous récompense pas immédiatement, patientez, travaillez !



Éditorial de septembre 2024

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 05 Sep 2024 18:28 - (922 Lectures)
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Boîtes aux lettres envahies de prospectus pour cahiers, stylos ou cartables ; rues à nouveau irriguées du flot dense des bagnoles, piétons, trottinettes et autres engins à roues ; inconnus ayant troqué shorts et tee-shirts bariolés pour de stricts vêtements professionnels ; valse des caddies sur les parkings des supermarchés ; transports en commun gavés de foules captivées par leurs écrans divers ; pas de doute, c’est la rentrée !
Gamin, cet épisode de retour à la routine me plombait le moral, m’emplissait d’une sombre mélancolie après l’enthousiasme, les couleurs et les fantaisies de la pause estivale.
Avec le temps, cette mélancolie s’est estompée, bien sûr, mais des réminiscences ponctuent toujours mes mois de septembre. Dans ces moments là, j’évoque la joie des retrouvailles, le jour du retour à la maison, avec les machines et instruments qui n’avaient pas pu suivre la transhumance, trop lourds, trop encombrants ou trop nombreux.
Si comme moi vous ressentez de temps à autre un petit coup de blues lors de ce mois de rentrée, dites-vous plutôt que vous avez à nouveau à disposition l’ensemble de vos outils, que vous êtes totalement opérationnels et que vous avez donc devant vous onze mois pour créer, progresser, en bref pour renouer tout ce qui fait votre bonheur de musicien.
Alors je vous souhaite à tous, sans ironie et sans arrière-pensée, une bonne rentrée 2024 !





Éditorial d'août 2024

Auteur : collectif - Publié le : mar. 06 Aug 2024 10:36 - (1724 Lectures)
Éditos




Musiciens, comme je vous envie !
Je suis un éternel dilettante. Les leçons de piano, lorsque j’étais môme, m’ont à jamais éloigné du solfège après une année passée aux côtés d’une dame austère qui m’abreuvait de dictées musicales et autres exercices abstraits (c’est ainsi que je le ressentais) plus rébarbatifs les uns que les autres.
J’étais juste un gosse impatient de pouvoir enfin poser ses doigts sur le clavier et de produire du son. Un an à reluquer avec envie ce couvercle de bois désespérément clos. Ce qui devait arriver se produisit et bien sûr, après 12 mois de calvaire je demandais à mes parents de me désinscrire, à jamais dégoûté du solfège et de la théorie musicale. Blocage.
Vers 14 ans, ma grand-mère m’offrit clandestinement une petite guitare classique sur laquelle, avec l’aide de potes plus avancés que moi, j’appris les accords et les doigtés, à l’oreille, évidemment incapable de déchiffrer une partition. Quelques tablatures secourables complétèrent cet apprentissage.
Les années ont passé et, de paliers en paliers, j’ai lentement progressé avec quelques joies et pas mal de frustrations, souvent liées à mon absence de compréhension analytique de ce que j’écoutais.
Puis vint l’ère des machines, du numérique, de MIDI et mes lacunes se révélaient cruellement face aux séquenceurs et autres boîtes à rythmes. J’ai perdu un temps fou à comprendre ou à programmer, toujours dû à mon manque de bases théoriques.
Alors vous qui lisez une partition comme une note de service, qui "entendez" la mélodie et le rythme au fur et à mesure de votre déchiffrage, oui, je vous envie !
Mais l’histoire de la musique populaire fait aussi la part belle aux autodidactes et les outils collaboratifs dont nous disposons ici, enrichis de toute l’aide de notre communauté, permettent à chacun, pour peu de la motivation soit présente, de concrétiser ses idéaux musicaux.
Cadors du solfège, gratteux autodidactes, percussionnistes de coin de table, chanteurs de karaoké, programmeurs virtuoses, un bel été à vous tous et que vive la musique libre !







Éditorial de juillet 2024

Auteur : collectif - Publié le : ven. 12 Jul 2024 08:45 - (1689 Lectures)
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Gamin, je voulais devenir luthier. Mais, à mon époque, les parents rêvaient souvent, pour leur progéniture, d’études supérieures et de carrières de cols blancs ou de professions libérales. Va donc pour les études et le renoncement aux travaux manuels.
Puis, rattrapé par les crises et le chômage, je me suis retrouvé à vendre guitares et amplis et surtout, à régler, réparer, refaire une beauté, dans l’arrière boutique, aux instruments des clients.
Le virus m’avait rattrapé et les sourires ravis des guitaristes, lorsqu’ils ouvraient leur étui, étaient autant d’encouragements que de récompenses.
Maintenant, enfin maître de mon temps, je récupère, je cherche des pièces, j’achète, je revends, j’assemble, je nettoie, je peins, je vernis, je ponce, je polis et je règle mes guitares idéales. A l’occasion de ces nombreux échanges, j’ai découvert que j’étais loin d’être seul à être animé par cette passion et les échanges de photos, de conseils et de compétences se sont multipliés entre membres de cette communauté.
Et voilà ! Une autre appartenance à un club aussi solidaire, aussi partageur, aussi réactif, aussi passionnant et riche de savoirs que linuxmao.
Linuxmao qui ne prend jamais de vacances mais qui souhaite à tous ses membres un bel été musical et ensoleillé. Gardez la passion !




Éditorial de juin 2024

Auteur : collectif - Publié le : mar. 11 Jun 2024 08:31 - (1774 Lectures)
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Jean et Louis, une paire de vieux amis inséparables. Deux retraités qui n’auraient laissé passer à aucun prix une journée sans établir un contact. Visites réciproques, appels téléphoniques, apéros partagés en terrasse, toutes occasions de mixer leurs passions réciproques.
Jean avait passé sa vie sur le bord des circuits de Grands Prix moto, en tant que mécanicien-préparateur. Il trouvait en Louis un autre passionné de deux roues puisque ce dernier collectionnait les motos anciennes et circulait, le plus souvent possible, sur l’une de ses montures.
Louis, quand à lui, avait exercé en tant que guitariste-accompagnateur. Jean ne se lassait jamais d’entendre les anecdotes qui illustraient l’histoire du rock’n’roll français, version Louis.
Les visites au domicile de l’un ou de l’autre donnaient régulièrement lieu à de mini-brouilles.
Jean reprochait à son ami le "foutoir" qui régnait chez lui, un modeste deux-pièces envahi d’instruments de toutes tailles, de toutes sortes, d’amplis, de machines diverses et de câbles dans lesquels il emmêlait régulièrement ses épaisses bottes de motard.
Louis râlait lorsqu’il se rendait chez Jean, indisposé par les émanations d’hydrocarbures, l’omniprésence du cambouis, l’envahissement de l’espace vital par les outils de mécanique, les composants de moteurs démontés et la propension de tout ce bazar à vous tamponner les vêtements de traînées noires et grasses.
Dès le deuxième verre, les fâcheries se calmaient pour laisser à nouveau place aux échanges de souvenirs, tous plus flamboyants les uns que les autres.
À 80 ans passés, les deux amis étaient demeurés célibataires, leurs passions dévorantes n’ayant consenti aucune place à la romance, et leurs quelques tentatives de partager leurs espaces exclusifs, sans compromis, avec une compagne s’étant soldées par de bruyantes scènes suivies de claquages de portes sans retours.
Sans beaucoup de regrets, m’avaient-ils confessé, l’un comme l’autre, lors d’une soirée nonchalante à la terrasse d’une guinguette de bord de mer.
Est-ce donc là le prix à payer pour vivre pleinement sa passion ?
Je vous laisse en décider...





Éditorial de mai 2024

Auteur : collectif - Publié le : dim. 05 mai 2024 20:56 - (2517 Lectures)
Éditos
Eh bien, décidément, je suis incapable de déguster un plat sans y ajouter une pincée de sel et de généreusement poivrer la surface de mon assiette.
Ensuite, selon le goût, le fumet, j’y ajoute volontiers le piquant qui va bien. Harissa, Tabasco, piment d’Espelette, Shrirasha, raifort, Wasabi, piments macérés dans l’huile d’olive, poudres de piment, piments broyés, un poil de moutarde forte, purées d’ail et de piments, chilis, piments oiseau, la liste est longue et non exhaustive, elle laisse toute la place à notre imagination culinaire.
Mais pourquoi nous parle-t-il d’assaisonnements, ici, le gars ?
Parce que je sais que la musique est le sel de la vie. Rien de vraiment indispensable pour survivre, en toutes circonstances, mais voilà bien l’ingrédient absolument nécessaire pour métamorphoser quelques minutes, dans une journée, en quelques plages d’émotions intenses et rares.
Là où les épices nous titillent le palais, la musique, elle, nous embrouille les neurones et, artificiellement, suscite la joie, la tristesse, l’empathie, la mélancolie, l’envie de sauter, de danser, la paix, la vitesse voire la folie totale.
Trop forte, trop balèze, la musique, admettons-le !
Bon, je ne vous apprends rien aussi je retourne en cuisine...


Éditorial d'avril 2024

Auteur : collectif - Publié le : dim. 14 Apr 2024 20:47 - (1701 Lectures)
Éditos


Comment tourner la page ? Quand renoncer à la musique ? Est-ce seulement possible ?

Je pense souvent à l’un de mes amis, violoniste, qui a pris récemment sa retraite, après une carrière bien remplie, brillante et internationale, débutée fin 60’s début 70’s. Une cinquantaine d’années de bons et loyaux services, la mentonnière sous les joues.
Son petit étui ne le quitte pourtant jamais et, pour peu que l’un de nous se pose devant un piano ou empoigne une guitare, l’instrument sort immédiatement de sa boite et les heures passent, enluminées de rythmes et de mélodies improvisés.
Alors pourquoi mettre un terme à une aussi flamboyante carrière dont le dernier épisode s’est joué au sein d’un groupe d’Afrique du Sud basé à Londres ?
Parce qu’il ne veut plus voyager. Avions, cars, trains, autos, terminé ! Passer le restant de ses jours peinard, dans sa petite maison sous le soleil du Sud Ouest. Rencontrer ses potes trop longtemps négligés, plaisanter, improviser des apéros, laisser les heures s’étirer nonchalamment, enfin.
Mais, encore une fois, l’étui reste à portée de main, l’archet et le violon surgissant hors de leur boîte à la moindre sollicitation.
Bien sûr, nous ne menons pas tous ce type de carrière, certains en rêvent, d’autres y renoncent sans même tenter le coup, beaucoup pratiquent sans espérer en vivre et quelques uns misent tout sur une hypothétique réussite, sacrifiant toute forme de vie intime dans cette quête.
Quoi qu’il en soit, nos existences sont toutes tissées de rythmes et de mélodies, d’airs et de paroles qui ne nous quitteront jamais, dans le bonheur ou les chagrins, les joies ou les peines.

Alors, la réponse aux questions initiales :
Eh bien non, nous ne renoncerons jamais !




Éditorial de mars 2024

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 07 mars 2024 07:15 - (1704 Lectures)
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Des musiciens de toutes sortes, de tous styles, des pratiques très diverses, des amateurs, des professionnels, certains pratiquant assidûment leur instrument d’élection, repoussant leurs propres limites, d’autres explorant des territoires au-delà des possibilités admises des technologies les plus pointues, qu’avons-nous donc en commun ?
Sans doute le désir de créer. Extraire du néant un objet inédit, fruit du dialogue entre les techniques que nous tentons de maîtriser du mieux possible et de ce qui s’exprime du fond de notre être, de ce qui caractérise notre unicité.
C’est peut-être une part de l’âme de chacun qui se trouvera ainsi scellée à jamais sur un support numérique ou lors d’une performance dans un stade, une salle de concert, un pub ou depuis un coin de sa chambre.
Une création à nulle autre pareille puisqu’il n’y a pas deux êtres humains identiques.
Qu’il s’agisse donc d’interprétation, d’exécution ou de composition, l’objet produit est unique car son auteur est lui-même le fruit d’une combinaison inédite de gènes, d’une histoire familiale et sociale singulière, d’une éducation, d’une culture et d’un passif d’expériences et d’émotions dont il restera le seul vecteur.
Bien sûr il est impossible d’aimer avec la même intensité tout ce qui est produit. Question de goûts, de générations, d’affinités, mais, pour peu que l’on ne rejette pas d’emblée telle ou telle chapelle, il sera toujours captivant de visiter, le temps d’un partage, le territoire inconnu compris entre notre singularité et l’altérité absolue d’un créateur. Il en va ainsi de toutes les formes d’art et d’artisanat.
Et il en va ainsi dans notre belle communauté. Passionnant voyage!





Éditorial de février 2024

Auteur : collectif - Publié le : lun. 05 Feb 2024 16:06 - (1713 Lectures)
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Malédiction !
L’électricité se prend encore 10 % dans son ascension tarifaire sans limites. Et nous, pauvres de nous, avec nos ordis, nos préamplis, nos amplis, nos claviers, nos chargeurs, nos moniteurs amplifiés, nos connexions, nos boxes diverses et variées, nos leds scintillant dans l’obscurité de nos nuits créatrices, qu’allons nous devenir ?
J’ai bien une paire de bongos dans un coin, un flûtiau oublié au fond d’une penderie et, si ça ne suffit pas, avec une vieille caisse (vide) de 6 bouteilles de Bordeaux et un bout de manche à balai, je me fabriquerai un violon à deux cordes.
Mais pour laisser une trace, un mix, ce sera compliqué, sans jus.
Allez, je plaisante !
Soyez juste vigilants, faites gaffe à ne pas vous faire couper le secteur, n’abusez pas, éteignez le bouzin quand la session est terminée, laissez bien refroidir les machines et ne les rallumez que lorsque l’élan créatif est si impérieux qu’il faudra se résoudre à faire flamber la carte bancaire.
Nous bossons sur le système d’exploitation le moins gourmand du monde, avec des distributions et des logiciels participatifs, souvent sur des bécanes pas forcément du dernier cri aussi, en matière de sobriété, je ne vous apprendrai rien.
Et puis, pas de mauvaise conscience ! Avant l’ère de la MAO, enregistrer avec l’ensemble des machines analogiques qui composaient un studio pro affichait un bilan carbone déplorable et un terril de kilowatts.
Alors, soyez économes et, surtout, travaillez bien !




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calixtus06, 12:46, mer. 11 Dec 2024: Bonjour et bienvenue à EtienneMAG7 :-)
calixtus06, 08:35, mer. 27 Nov 2024: Bonjour et bienvenue à remjai :-)
olinuxx, 18:41, jeu. 21 Nov 2024: Bonjour et bienvenue à CHV
calixtus06, 12:08, jeu. 21 Nov 2024: Bonjour et bienvenue à Istvan et Fass :-)
allany, 08:09, lun. 18 Nov 2024: @bda : ça fait plaisir mais il faut aussi remercier r1, sub26nico, calixtus06 et olinuxx sans qui l'édito mensuel ne serait pas. Un vrai travail d'équipe, quoi !
olinuxx, 21:42, dim. 17 Nov 2024: Bonjour et bienvenue à nounours 04 cool
bda, 20:09, ven. 15 Nov 2024: Merci allany, ton édito me réchauffe :-)
olinuxx, 18:58, jeu. 14 Nov 2024: Bonjour et bienvenue à Ereintefer cool
olinuxx, 14:28, lun. 11 Nov 2024: Bonjour et bienvenue à UMusique cool
calixtus06, 14:31, jeu. 07 Nov 2024: Bonjour et bienvenue à Niko80lille :-)
allany, 17:31, mer. 06 Nov 2024: Pas de chichis, pas de cérémonial, juste l'éditorial ! [Lien]
calixtus06, 18:51, lun. 28 Oct 2024: Bonjour et bienvenue à dawaninja :-)