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Éditorial de septembre 2024

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 05 Sep 2024 18:28 - (505 Lectures)
Éditos

Boîtes aux lettres envahies de prospectus pour cahiers, stylos ou cartables ; rues à nouveau irriguées du flot dense des bagnoles, piétons, trottinettes et autres engins à roues ; inconnus ayant troqué shorts et tee-shirts bariolés pour de stricts vêtements professionnels ; valse des caddies sur les parkings des supermarchés ; transports en commun gavés de foules captivées par leurs écrans divers ; pas de doute, c’est la rentrée !
Gamin, cet épisode de retour à la routine me plombait le moral, m’emplissait d’une sombre mélancolie après l’enthousiasme, les couleurs et les fantaisies de la pause estivale.
Avec le temps, cette mélancolie s’est estompée, bien sûr, mais des réminiscences ponctuent toujours mes mois de septembre. Dans ces moments là, j’évoque la joie des retrouvailles, le jour du retour à la maison, avec les machines et instruments qui n’avaient pas pu suivre la transhumance, trop lourds, trop encombrants ou trop nombreux.
Si comme moi vous ressentez de temps à autre un petit coup de blues lors de ce mois de rentrée, dites-vous plutôt que vous avez à nouveau à disposition l’ensemble de vos outils, que vous êtes totalement opérationnels et que vous avez donc devant vous onze mois pour créer, progresser, en bref pour renouer tout ce qui fait votre bonheur de musicien.
Alors je vous souhaite à tous, sans ironie et sans arrière-pensée, une bonne rentrée 2024 !





Éditorial d'août 2024

Auteur : collectif - Publié le : mar. 06 Aug 2024 10:36 - (1272 Lectures)
Éditos




Musiciens, comme je vous envie !
Je suis un éternel dilettante. Les leçons de piano, lorsque j’étais môme, m’ont à jamais éloigné du solfège après une année passée aux côtés d’une dame austère qui m’abreuvait de dictées musicales et autres exercices abstraits (c’est ainsi que je le ressentais) plus rébarbatifs les uns que les autres.
J’étais juste un gosse impatient de pouvoir enfin poser ses doigts sur le clavier et de produire du son. Un an à reluquer avec envie ce couvercle de bois désespérément clos. Ce qui devait arriver se produisit et bien sûr, après 12 mois de calvaire je demandais à mes parents de me désinscrire, à jamais dégoûté du solfège et de la théorie musicale. Blocage.
Vers 14 ans, ma grand-mère m’offrit clandestinement une petite guitare classique sur laquelle, avec l’aide de potes plus avancés que moi, j’appris les accords et les doigtés, à l’oreille, évidemment incapable de déchiffrer une partition. Quelques tablatures secourables complétèrent cet apprentissage.
Les années ont passé et, de paliers en paliers, j’ai lentement progressé avec quelques joies et pas mal de frustrations, souvent liées à mon absence de compréhension analytique de ce que j’écoutais.
Puis vint l’ère des machines, du numérique, de MIDI et mes lacunes se révélaient cruellement face aux séquenceurs et autres boîtes à rythmes. J’ai perdu un temps fou à comprendre ou à programmer, toujours dû à mon manque de bases théoriques.
Alors vous qui lisez une partition comme une note de service, qui "entendez" la mélodie et le rythme au fur et à mesure de votre déchiffrage, oui, je vous envie !
Mais l’histoire de la musique populaire fait aussi la part belle aux autodidactes et les outils collaboratifs dont nous disposons ici, enrichis de toute l’aide de notre communauté, permettent à chacun, pour peu de la motivation soit présente, de concrétiser ses idéaux musicaux.
Cadors du solfège, gratteux autodidactes, percussionnistes de coin de table, chanteurs de karaoké, programmeurs virtuoses, un bel été à vous tous et que vive la musique libre !







Éditorial de juillet 2024

Auteur : collectif - Publié le : ven. 12 Jul 2024 08:45 - (1272 Lectures)
Éditos
Gamin, je voulais devenir luthier. Mais, à mon époque, les parents rêvaient souvent, pour leur progéniture, d’études supérieures et de carrières de cols blancs ou de professions libérales. Va donc pour les études et le renoncement aux travaux manuels.
Puis, rattrapé par les crises et le chômage, je me suis retrouvé à vendre guitares et amplis et surtout, à régler, réparer, refaire une beauté, dans l’arrière boutique, aux instruments des clients.
Le virus m’avait rattrapé et les sourires ravis des guitaristes, lorsqu’ils ouvraient leur étui, étaient autant d’encouragements que de récompenses.
Maintenant, enfin maître de mon temps, je récupère, je cherche des pièces, j’achète, je revends, j’assemble, je nettoie, je peins, je vernis, je ponce, je polis et je règle mes guitares idéales. A l’occasion de ces nombreux échanges, j’ai découvert que j’étais loin d’être seul à être animé par cette passion et les échanges de photos, de conseils et de compétences se sont multipliés entre membres de cette communauté.
Et voilà ! Une autre appartenance à un club aussi solidaire, aussi partageur, aussi réactif, aussi passionnant et riche de savoirs que linuxmao.
Linuxmao qui ne prend jamais de vacances mais qui souhaite à tous ses membres un bel été musical et ensoleillé. Gardez la passion !




Éditorial de juin 2024

Auteur : collectif - Publié le : mar. 11 Jun 2024 08:31 - (1404 Lectures)
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Jean et Louis, une paire de vieux amis inséparables. Deux retraités qui n’auraient laissé passer à aucun prix une journée sans établir un contact. Visites réciproques, appels téléphoniques, apéros partagés en terrasse, toutes occasions de mixer leurs passions réciproques.
Jean avait passé sa vie sur le bord des circuits de Grands Prix moto, en tant que mécanicien-préparateur. Il trouvait en Louis un autre passionné de deux roues puisque ce dernier collectionnait les motos anciennes et circulait, le plus souvent possible, sur l’une de ses montures.
Louis, quand à lui, avait exercé en tant que guitariste-accompagnateur. Jean ne se lassait jamais d’entendre les anecdotes qui illustraient l’histoire du rock’n’roll français, version Louis.
Les visites au domicile de l’un ou de l’autre donnaient régulièrement lieu à de mini-brouilles.
Jean reprochait à son ami le "foutoir" qui régnait chez lui, un modeste deux-pièces envahi d’instruments de toutes tailles, de toutes sortes, d’amplis, de machines diverses et de câbles dans lesquels il emmêlait régulièrement ses épaisses bottes de motard.
Louis râlait lorsqu’il se rendait chez Jean, indisposé par les émanations d’hydrocarbures, l’omniprésence du cambouis, l’envahissement de l’espace vital par les outils de mécanique, les composants de moteurs démontés et la propension de tout ce bazar à vous tamponner les vêtements de traînées noires et grasses.
Dès le deuxième verre, les fâcheries se calmaient pour laisser à nouveau place aux échanges de souvenirs, tous plus flamboyants les uns que les autres.
À 80 ans passés, les deux amis étaient demeurés célibataires, leurs passions dévorantes n’ayant consenti aucune place à la romance, et leurs quelques tentatives de partager leurs espaces exclusifs, sans compromis, avec une compagne s’étant soldées par de bruyantes scènes suivies de claquages de portes sans retours.
Sans beaucoup de regrets, m’avaient-ils confessé, l’un comme l’autre, lors d’une soirée nonchalante à la terrasse d’une guinguette de bord de mer.
Est-ce donc là le prix à payer pour vivre pleinement sa passion ?
Je vous laisse en décider...





Éditorial de mai 2024

Auteur : collectif - Publié le : dim. 05 mai 2024 20:56 - (1895 Lectures)
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Eh bien, décidément, je suis incapable de déguster un plat sans y ajouter une pincée de sel et de généreusement poivrer la surface de mon assiette.
Ensuite, selon le goût, le fumet, j’y ajoute volontiers le piquant qui va bien. Harissa, Tabasco, piment d’Espelette, Shrirasha, raifort, Wasabi, piments macérés dans l’huile d’olive, poudres de piment, piments broyés, un poil de moutarde forte, purées d’ail et de piments, chilis, piments oiseau, la liste est longue et non exhaustive, elle laisse toute la place à notre imagination culinaire.
Mais pourquoi nous parle-t-il d’assaisonnements, ici, le gars ?
Parce que je sais que la musique est le sel de la vie. Rien de vraiment indispensable pour survivre, en toutes circonstances, mais voilà bien l’ingrédient absolument nécessaire pour métamorphoser quelques minutes, dans une journée, en quelques plages d’émotions intenses et rares.
Là où les épices nous titillent le palais, la musique, elle, nous embrouille les neurones et, artificiellement, suscite la joie, la tristesse, l’empathie, la mélancolie, l’envie de sauter, de danser, la paix, la vitesse voire la folie totale.
Trop forte, trop balèze, la musique, admettons-le !
Bon, je ne vous apprends rien aussi je retourne en cuisine...


Éditorial d'avril 2024

Auteur : collectif - Publié le : dim. 14 Apr 2024 20:47 - (1511 Lectures)
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Comment tourner la page ? Quand renoncer à la musique ? Est-ce seulement possible ?

Je pense souvent à l’un de mes amis, violoniste, qui a pris récemment sa retraite, après une carrière bien remplie, brillante et internationale, débutée fin 60’s début 70’s. Une cinquantaine d’années de bons et loyaux services, la mentonnière sous les joues.
Son petit étui ne le quitte pourtant jamais et, pour peu que l’un de nous se pose devant un piano ou empoigne une guitare, l’instrument sort immédiatement de sa boite et les heures passent, enluminées de rythmes et de mélodies improvisés.
Alors pourquoi mettre un terme à une aussi flamboyante carrière dont le dernier épisode s’est joué au sein d’un groupe d’Afrique du Sud basé à Londres ?
Parce qu’il ne veut plus voyager. Avions, cars, trains, autos, terminé ! Passer le restant de ses jours peinard, dans sa petite maison sous le soleil du Sud Ouest. Rencontrer ses potes trop longtemps négligés, plaisanter, improviser des apéros, laisser les heures s’étirer nonchalamment, enfin.
Mais, encore une fois, l’étui reste à portée de main, l’archet et le violon surgissant hors de leur boîte à la moindre sollicitation.
Bien sûr, nous ne menons pas tous ce type de carrière, certains en rêvent, d’autres y renoncent sans même tenter le coup, beaucoup pratiquent sans espérer en vivre et quelques uns misent tout sur une hypothétique réussite, sacrifiant toute forme de vie intime dans cette quête.
Quoi qu’il en soit, nos existences sont toutes tissées de rythmes et de mélodies, d’airs et de paroles qui ne nous quitteront jamais, dans le bonheur ou les chagrins, les joies ou les peines.

Alors, la réponse aux questions initiales :
Eh bien non, nous ne renoncerons jamais !




Éditorial de mars 2024

Auteur : collectif - Publié le : jeu. 07 mars 2024 07:15 - (1512 Lectures)
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Des musiciens de toutes sortes, de tous styles, des pratiques très diverses, des amateurs, des professionnels, certains pratiquant assidûment leur instrument d’élection, repoussant leurs propres limites, d’autres explorant des territoires au-delà des possibilités admises des technologies les plus pointues, qu’avons-nous donc en commun ?
Sans doute le désir de créer. Extraire du néant un objet inédit, fruit du dialogue entre les techniques que nous tentons de maîtriser du mieux possible et de ce qui s’exprime du fond de notre être, de ce qui caractérise notre unicité.
C’est peut-être une part de l’âme de chacun qui se trouvera ainsi scellée à jamais sur un support numérique ou lors d’une performance dans un stade, une salle de concert, un pub ou depuis un coin de sa chambre.
Une création à nulle autre pareille puisqu’il n’y a pas deux êtres humains identiques.
Qu’il s’agisse donc d’interprétation, d’exécution ou de composition, l’objet produit est unique car son auteur est lui-même le fruit d’une combinaison inédite de gènes, d’une histoire familiale et sociale singulière, d’une éducation, d’une culture et d’un passif d’expériences et d’émotions dont il restera le seul vecteur.
Bien sûr il est impossible d’aimer avec la même intensité tout ce qui est produit. Question de goûts, de générations, d’affinités, mais, pour peu que l’on ne rejette pas d’emblée telle ou telle chapelle, il sera toujours captivant de visiter, le temps d’un partage, le territoire inconnu compris entre notre singularité et l’altérité absolue d’un créateur. Il en va ainsi de toutes les formes d’art et d’artisanat.
Et il en va ainsi dans notre belle communauté. Passionnant voyage!





Éditorial de février 2024

Auteur : collectif - Publié le : lun. 05 Feb 2024 16:06 - (1538 Lectures)
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Malédiction !
L’électricité se prend encore 10 % dans son ascension tarifaire sans limites. Et nous, pauvres de nous, avec nos ordis, nos préamplis, nos amplis, nos claviers, nos chargeurs, nos moniteurs amplifiés, nos connexions, nos boxes diverses et variées, nos leds scintillant dans l’obscurité de nos nuits créatrices, qu’allons nous devenir ?
J’ai bien une paire de bongos dans un coin, un flûtiau oublié au fond d’une penderie et, si ça ne suffit pas, avec une vieille caisse (vide) de 6 bouteilles de Bordeaux et un bout de manche à balai, je me fabriquerai un violon à deux cordes.
Mais pour laisser une trace, un mix, ce sera compliqué, sans jus.
Allez, je plaisante !
Soyez juste vigilants, faites gaffe à ne pas vous faire couper le secteur, n’abusez pas, éteignez le bouzin quand la session est terminée, laissez bien refroidir les machines et ne les rallumez que lorsque l’élan créatif est si impérieux qu’il faudra se résoudre à faire flamber la carte bancaire.
Nous bossons sur le système d’exploitation le moins gourmand du monde, avec des distributions et des logiciels participatifs, souvent sur des bécanes pas forcément du dernier cri aussi, en matière de sobriété, je ne vous apprendrai rien.
Et puis, pas de mauvaise conscience ! Avant l’ère de la MAO, enregistrer avec l’ensemble des machines analogiques qui composaient un studio pro affichait un bilan carbone déplorable et un terril de kilowatts.
Alors, soyez économes et, surtout, travaillez bien !




Éditorial de janvier 2024

Auteur : collectif - Publié le : ven. 05 Jan 2024 15:32 - (1590 Lectures)
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Ce siècle a 24 ans ! Déjà...
Il semble superflu de vous souhaiter une bonne année car une année de musiques ne peut être mauvaise.
Comme dans un film dont les images vous heurteront parfois mais dont la bande-son adoucira l’intensité de vos émotions. Comme un compagnonnage qui jamais ne vous trahira, jamais ne vous fera défaut, la fidélité de vos musiques ne se démentira pas, ni cette année ni les suivantes.
La grande famille musicale, c’est votre famille et vous y tisserez les liens de votre choix, fil à fil, dans les couleurs et textures de votre choix. Votre savoir-faire s’enrichira de vos expérimentations, de vos écoutes et de vos rencontres. 2024 ne sera, en définitive, qu’une étape de plus vers votre apprentissage qui, lui, ne finira jamais.
Alors oui, 2024 sera ce que vous voudrez bien en faire et vous savoir ici, parmi nous, démontre que l’avenir pourrait aussi s’annoncer musical, bien sûr, mais également empathique, fraternel et collaboratif.
Et même si c’est superflu, même si c’est inutile, toute l’équipe de l’éditorial vous adresse ses meilleurs vœux pour 2024 !



Éditorial de décembre 2023

Auteur : collectif - Publié le : mar. 12 Dec 2023 10:40 - (1102 Lectures)
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Pas de meilleur moment pour rêver que cette période des fêtes qui s’annonce.
Je recherche, de site en site, la guitare de mes rêves, celle que je n’aurai, de toute façon, jamais les moyens de m’offrir.
Alors je me prends à espérer que le Père Noël revienne du fond de ma petite enfance, encore plus généreux, sans limites budgétaires.

Puisque je peux virtuellement me lâcher, je vais directement au tout haut de gamme, là où le moindre instrument coûte le prix d’un séjour 5 étoiles aux Baléares.
Surprise : des guitares rayées, écorchées, craquelées, à la peinture matifiée, dissoute par endroits, de profondes marques d’usure entre les frettes ou au dos du manche, des pocs partout comme si ces instruments étaient tombés mille fois, le tout à des tarifs stratosphériques.
Je découvre l’univers du "reliquage".
Le jeu consiste donc en l’acquisition d’un instrument neuf, haut de gamme, dont l’apparence est celle d’une guitare qui aurait subi 50 années de mauvais traitements.

Je sais ne pas pouvoir compter sur le Père Noël, j’ai les poches trouées, quelques dettes qui traînent, aussi j’oublie bien vite les guitares "reliquées". D’autant que je dois changer ma machine à laver qui vient de tomber en rideau. En garçon raisonnable sachant gérer ses priorités, je vais me mettre en quête de l’engin, en guise de petit Noël. Bien sûr, je vais soigneusement éviter les "reliquages" de toutes natures : rouille, éclats d’émail, courroies fatiguées, cabosses et autres rayures…

Et, en consolation, nous pourrons toujours nous dire que nous approchons de la fin de l’année 2023 qui, de fait, devient une année "reliquée".
Bonnes fêtes à toutes et tous !




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olinuxx, 21:36, ven. 13 Sep 2024: Bonjour et bienvenue à jearos cool
calixtus06, 18:28, mer. 11 Sep 2024: Bonjour et bienvenue à Fred2024 :-)
allany, 18:33, jeu. 05 Sep 2024: Semi-automnal, cet éditorial ! [Lien]
olinuxx, 22:00, dim. 01 Sep 2024: Bonjour et bienvenue à bo cool
olinuxx, 16:22, sam. 31 Aug 2024: Bonjour et bienvenue à kicknride cool
calixtus06, 20:50, jeu. 29 Aug 2024: Bonjour et vienvenue à Nano2259 et vfs750 :-)
calixtus06, 11:34, ven. 23 Aug 2024: Bonjour et bienvenue à Clark2024,Chancellor2024, William74, fafa15, Arsene :-)
calixtus06, 10:23, mer. 14 Aug 2024: Bonjour et bienvenue à Dimercia, gaelle, paguy74 et humpf :-)
calixtus06, 14:59, dim. 11 Aug 2024: Bonjour et bienvenue à nkbl :-)
calixtus06, 11:33, ven. 09 Aug 2024: Bonjour et bienvenue à Natha :-)
bluedid29, 22:56, jeu. 08 Aug 2024: Merci pour l'édito et bonnes vacances :-)
allany, 10:42, mar. 06 Aug 2024: Roulement de tambour, claquement de cymbale : c'est l'éditorial ! [Lien]