LibraZiK et financement
tongo, si tu travailles avec Ardour, il y a une section de leur forum pour ça. Sinon la liste linux audio user.
Publier des morceaux sur des plateformes (soundcloud, bandcamp) et ou réseaux sociaux (mastodon, Diaspora) avec le tag #librazik (certains le font déjà). Ça peux donner un peu de visibilité mais de mon point de vue ce n'est pas ce qui va changer les choses.
Le problème du financement de LibraZiK n'est malheureusement pas différent de celui d'une majorité de projets 'libres' (logiciels ou arts en général).
Le financement par don n'est pas une habitude dans un monde numérique où les GAFAM nous mettent tout à disposition à titre gratuit (même si ça ne l'est pas).
Et la motivation des utilisateurs, même s'ils sont conscients des enjeux, reste que cela soit gratuit. Pour alourdir le constat, donner un pourboire, une pièce, etc ou supporter par dons réguliers(appeler ça comme bon vous semble) n'est pas non plus dans la culture gauloise. Je parle d'un point de vue de musicien qui joue souvent dans des lieux tenues par des étrangers ou pour des clientèles étrangères, sur ce plan là, les différences de culture sont flagrantes...
Ça fait peu de temps que je suis arrivé ici, sur le site, comme dans le monde du libre donc mon regard n'est pas forcément pertinent. Mais ce que j'observe, comme dans d'autres domaines, c'est que peu de gens se retroussent les manches. On préfère chouiner ou critiquer sans pour autant supporter une initiative alternative ou carrément l'initier. Si tout le monde faisait un petit geste, même minime, ça donnerait d'autres perspectives (sans atteindre des montant indécents non plus, je ne rêve pas). Que ce soit en argent ou autres contributions(documentations, traductions, tests, diffusion, etc...) À commencer par assurer aux développeurs (car ça ne concerne pas que LibraZiK et olinuxx) une certaine reconnaissance ainsi que des garanties sur le moyen terme. Pour conclure, je répète ici ce que j'ai déjà dit sur irc, c'est aux utilisateurs de se bouger un peu plusse maintenant, car si on veut des solutions libres, il nous faut en être les acteurs, chacun en fonction de ses moyens et compétences.
Publier des morceaux sur des plateformes (soundcloud, bandcamp) et ou réseaux sociaux (mastodon, Diaspora) avec le tag #librazik (certains le font déjà). Ça peux donner un peu de visibilité mais de mon point de vue ce n'est pas ce qui va changer les choses.
Le problème du financement de LibraZiK n'est malheureusement pas différent de celui d'une majorité de projets 'libres' (logiciels ou arts en général).
Le financement par don n'est pas une habitude dans un monde numérique où les GAFAM nous mettent tout à disposition à titre gratuit (même si ça ne l'est pas).
Et la motivation des utilisateurs, même s'ils sont conscients des enjeux, reste que cela soit gratuit. Pour alourdir le constat, donner un pourboire, une pièce, etc ou supporter par dons réguliers(appeler ça comme bon vous semble) n'est pas non plus dans la culture gauloise. Je parle d'un point de vue de musicien qui joue souvent dans des lieux tenues par des étrangers ou pour des clientèles étrangères, sur ce plan là, les différences de culture sont flagrantes...
Ça fait peu de temps que je suis arrivé ici, sur le site, comme dans le monde du libre donc mon regard n'est pas forcément pertinent. Mais ce que j'observe, comme dans d'autres domaines, c'est que peu de gens se retroussent les manches. On préfère chouiner ou critiquer sans pour autant supporter une initiative alternative ou carrément l'initier. Si tout le monde faisait un petit geste, même minime, ça donnerait d'autres perspectives (sans atteindre des montant indécents non plus, je ne rêve pas). Que ce soit en argent ou autres contributions(documentations, traductions, tests, diffusion, etc...) À commencer par assurer aux développeurs (car ça ne concerne pas que LibraZiK et olinuxx) une certaine reconnaissance ainsi que des garanties sur le moyen terme. Pour conclure, je répète ici ce que j'ai déjà dit sur irc, c'est aux utilisateurs de se bouger un peu plusse maintenant, car si on veut des solutions libres, il nous faut en être les acteurs, chacun en fonction de ses moyens et compétences.