Cette page présentera comment utiliser le code contrôle pitchbend dans un solo de guitare en MIDI avec le préréglage distorsion d'une banque de son.
Je compose sans instruments physiques en utilisant uniquement un séquenceur, un ou plusieurs logiciels synthétiseurs et un clavier MIDI. Une des opérations, un peu compliquée, est de réaliser le solo d'un instrument en lui donnant le plus de réalisme possible : c'est faisable grâce aux codes contrôles.
Dans le réel, l'instrumentiste imagine son solo et le joue sur l'instrument (sauf en live mais ici ce n'est pas le propos), toutefois, quand les doigts deviennent plus réticents ou que la pratique de l'instrument n'est pas au rendez-vous (on ne s'appelle pas tous Page ou Hendrix) mais que l'imagination est là ; Nous pouvons élaborer ce solo avec le MIDI, c'est moins valorisant que grattouiller (quoique! ) mais nous pouvons obtenir un très bon résultat, avec l'avantage de le modifier/améliorer très facilement.
Pour concevoir cet article j'ai utilisé comme séquenceur Rosegarden version 12.04, le synthétiseur de banque son QSynth avec un extrait de banque SF2.
J'utilise la carte son interne de l'ordinateur et un amplificateur intégré fabrication maison !
Il ne possède pas de numéro de code (ex : volume=7 réverbération=91 etc..).
Le principe étant de modifier la hauteur de la note (le "pitch") qui fait partie des données de la banque son,
voir ici pour les SF2 les valeurs : coarseTune et FineTune, ou voir ici pour les SFZ les valeurs transpose et tune, cette valeur de pitch est modifiée avant la génération du son, alors que les codes contrôles agissent après cette génération.
Connaître l'utilisation d'un séquenceur couplé avec un logiciel synthétiseur de banque son SF2 ou SFZ.
Les résultats audio en ogg sont téléchargeables en bas de page dans la rubrique fichier joints.
Une seule occurrence est créée.
Pour avoir un son réel de guitare électrique, c'est à dire plat, j'ai supprimé les valeurs de réverbération initialisées dans la banque avec le logiciel Swami.
J'ajouterai alors cette réverbération à une valeur minimale dans le logiciel synthétiseur que je doserai dans le séquenceur avec le code contrôle 91
Je charge ma banque spécifique aux guitares distorsion.
J'ai utilisé deux préréglages distorsion qui ont des sonorités différentes et créer 5 segments pour les tests.
aperçu des connexions avec jack
Ne pas confondre le pitchbend qui est une variation faible de la hauteur de note et le portamento qui est une variation plus ample de la hauteur pouvant s'incrire dans plusieurs octave.
la correction maximum du pitch est de +un ton et -un ton approximativement. Si nous voulons avoir un décalage supérieur à un ton, il faut placer la note un ton plus bas et démarrer le pitch vers 00 pour avoir un pitch ascendant et inverser pour avoir le pitch descendant.
Le fichier segment-1.ogg produit ce son, un genre de Touououit-Touit, que je décrirai comme :
Nous voyons dans l'éditeur matriciel les notes positionnées :
Dans l'intervalle C-D les notes s'arrêtent et redémarrent. La position de ces arrêts et redémarrages est très importantes pour donner du réalisme à l'effet. Si vous avez un accord sur trois cordes et que vous faites un pitchbend, dans la réalité il y a toujours un décalage ; Ce stop-and-play va le simuler.
<- Un shunt du son peut-être réalisé avec le code controle 7.
En ouvrant la liste des événements nous pouvons voir comment ces données vont être traitées par le synthétiseur.->
Le fichier segment-2.ogg produit ce son, un genre de Ting Touououiiiouououout Tong, que je décrirai comme :
Dans ce segment vous entendez une première suite sans pitchbend pour décrire le son net, puis la seconde suite avec le pitchbend pour entendre le son souhaité.
Nous voyons dans l'éditeur matriciel les notes positionnées seule la deuxième série de 3 notes nous intéresse :
Dans la liste des messages, hormis les 5 première notes nous remarquons que les ptichbend intervenant après une seule note sont groupés, contrairement au paragraphe du dessus où ils étaient éparpillés avec les débuts et fins de notes.
Au passage, on voit les initialisations des contrôles habituels le contrôle 7 volume, le 10 balance au centre et le 91 dosage de la réverbération initialisé dans QSynth (voir la configuration dans le paragraphe prérequis)
Dans le segment-3.ogg vous entendez une première suite sans pitchbend pour décrire le son net, puis la seconde suite produit une série de deux effets, décrit comme au paragraphe du dessus, mais l'application du pitchbend dans le deuxième jeu est légérement décalé.
Nous voyons dans l'éditeur matriciel les notes positionnées (la partie sans effet a été masquée :
On voit ci-joint que la structure des positions de ptichbend est identique pour les deux jeux. Seul l'écart entre le départ des notes 76 (Mi4) en 005-02 et 005-04 et le débuts des pitch bend est sensiblement différent.
Dans le segment-4.ogg vous entendez une première suite sans pitchbend pour décrire le son net, puis la seconde suite produit une série de deux effets, décrit comme au 1° paragraphe, mais l'application du pitchbend
Nous voyons dans l'éditeur matriciel les notes positionnées (la partie sans effet est sans intérêt). On remarque que la note qui subit l'effet est interrompue.
Comme il est difficile de placer la valeur graphiquement : placez une occurence le plus près possible et passez par l'éditeur d'événements (s'il existe dans le séquenceur) pour y modifier la valeur.
Dans le séquenceur utilisé ici, les valeurs de base sont 3F 7F.
La structure des positions et valeur data des ptichbends est sensiblement identique pour les deux jeux. Les différentes ont toujours pour but d'apporter un style aléatoire qui renforce l'impression de son d'imstrument réel.
Dans le segment-5.ogg Il s'agit d'un exemple de ptichbend avec réverbération soutenue qui se termine par un shunt et une évacuation vers la gauche.
Le souhait est de créer un son qui va partir du centre vers le canal gauche en s'affaiblissant et descendant de 2 ou 3 tons.
Pour obtenir l'amplitude de la variation de ce ton, il nous faut débuter une note au pitch maximum et finir sur une note un ton plus bas au pitch minimum
La base est de couper une note (69 la 3) pour simuler le coup de médiator, juste au départ du pitchbend.
L'évacuation vers le canal gauche avec le code contrôle 10 est réalisé en pente douce A, puis rétablit au centre en B après la fin du son.
Pour le shunt avec le contrôleur 7 c'est identique au premier paragraphe.
Au début on remarque la valeur du contrôle de réverbération 91 placé à 120 juste avant le départ de la séquence. Dans le jeu, d'où est extrait cette séquence, la valeur est de 15.
Les valeurs du contrôleur 7 (volume) ont été supprimées pour clarifier la lecture. On peut voir les valeurs du contrôleur de balance 10 alterner avec les occurrences du pitchbend.
Pour avoir une idée de ce que l'on peut obtenir, voici un lien sur un titre qui utilise ces méthodes ; tous les instruments sont MIDI.
Table des matières
Préambule
Je compose sans instruments physiques en utilisant uniquement un séquenceur, un ou plusieurs logiciels synthétiseurs et un clavier MIDI. Une des opérations, un peu compliquée, est de réaliser le solo d'un instrument en lui donnant le plus de réalisme possible : c'est faisable grâce aux codes contrôles.
Dans le réel, l'instrumentiste imagine son solo et le joue sur l'instrument (sauf en live mais ici ce n'est pas le propos), toutefois, quand les doigts deviennent plus réticents ou que la pratique de l'instrument n'est pas au rendez-vous (on ne s'appelle pas tous Page ou Hendrix) mais que l'imagination est là ; Nous pouvons élaborer ce solo avec le MIDI, c'est moins valorisant que grattouiller (quoique! ) mais nous pouvons obtenir un très bon résultat, avec l'avantage de le modifier/améliorer très facilement.
Pour concevoir cet article j'ai utilisé comme séquenceur Rosegarden version 12.04, le synthétiseur de banque son QSynth avec un extrait de banque SF2.
J'utilise la carte son interne de l'ordinateur et un amplificateur intégré fabrication maison !
je prècise malgré tout
Peut-on considérer le pitchbend comme un code contrôle ?
Il ne possède pas de numéro de code (ex : volume=7 réverbération=91 etc..).
Le principe étant de modifier la hauteur de la note (le "pitch") qui fait partie des données de la banque son,
voir ici pour les SF2 les valeurs : coarseTune et FineTune, ou voir ici pour les SFZ les valeurs transpose et tune, cette valeur de pitch est modifiée avant la génération du son, alors que les codes contrôles agissent après cette génération.
Prérequis
Connaître l'utilisation d'un séquenceur couplé avec un logiciel synthétiseur de banque son SF2 ou SFZ.
Les résultats audio en ogg sont téléchargeables en bas de page dans la rubrique fichier joints.
Configuration et réglages pour les tests
Le synthétiseur QSynth
Une seule occurrence est créée.
Pour avoir un son réel de guitare électrique, c'est à dire plat, j'ai supprimé les valeurs de réverbération initialisées dans la banque avec le logiciel Swami.
J'ajouterai alors cette réverbération à une valeur minimale dans le logiciel synthétiseur que je doserai dans le séquenceur avec le code contrôle 91
Je charge ma banque spécifique aux guitares distorsion.
Le séquenceur
Création du périphérique d'exécution, connexion à l'instance instrument de QSynth et chargement de la listes des instrument de la banques.
J'ai utilisé deux préréglages distorsion qui ont des sonorités différentes et créer 5 segments pour les tests.
jack
aperçu des connexions avec jack
Petit rappel
ATTENTION
- Le pitchbend agit sur la piste donc la modification du ptich affecte toutes les notes figurant sur cette piste.
- Si vous modifiez le pitch et que vous ne le rétablissez pas à sa valeur initiale après son action, l'écoute de toutes les notes placées ensuite sont fausses.
- Quand vous placez une note, avec un éditeur matriciel ( pianoroll ) ou autre, dans un intervalle pitchbenisé, suivant le séquenceur vous entendrez la note initiale, pas le son pitché. De même : si vous envoyez des notes avec un clavier MIDI (hors enregistrement) quand vous vous situez dans la zone pitchbenisé le son entendu est la note initiale sans effet.
Dans le standard d'un fichier MIDI (.mid) les valeurs acceptées pour la variation du pitch est codée sur deux octets. Dans le cas du logiciel Rosegarden la variation est de +8192 à -8192.
Je suppose que les unités sont des cents
Ne pas confondre le pitchbend qui est une variation faible de la hauteur de note et le portamento qui est une variation plus ample de la hauteur pouvant s'incrire dans plusieurs octave.
petit truc
la correction maximum du pitch est de +un ton et -un ton approximativement. Si nous voulons avoir un décalage supérieur à un ton, il faut placer la note un ton plus bas et démarrer le pitch vers 00 pour avoir un pitch ascendant et inverser pour avoir le pitch descendant.
Pitchbend simple sur un accord
Le fichier segment-1.ogg produit ce son, un genre de Touououit-Touit, que je décrirai comme :
- poussée lente de la corde sur le manche en la guidant sur la barrette pour passer à la note supérieur, puis relâchement et répéter la manipulation plus rapidement.
Nous voyons dans l'éditeur matriciel les notes positionnées :
- A les décalages vont donner du réalisme au "gratter" des cordes. Si on aligne les départs nous n'avons pas l'effet du décalage dû au gratter mais plutôt le taper du clavier d'un piano, qui (théoriquement) déclenche les notes en même temps, alors que pour une guitare les cordes vont être "déclenchées" l'une après l'autre. Dans l'exemple, le gratter est du bas vers le haut puisque la note aigu est déclenchée avant la note grave.
- E : la valeur du pitchbend est à 0 nous avons les notes à leur hauteur prévue dans la base de données.
- B : la ligne définit le départ des notes, nous constatons que le pitch "bas" est positionné avant cette ligne. Les instances de pitch sont positionnées jusque la valeur maxi souhaitée. Le nombre des instances fluidifiera le son qui sera stable juste un instant ce temps montre la durée du tououououit. La pente des instances donnera la durée de la montée du pitch, plus elle est raide, plus la montée est rapide.
- C : la ligne bleue définit la reprise de la remontée du pitch. C'est le moment où le guitariste relâche la corde pour la remonter à nouveau.
à noter
Dans l'intervalle C-D les notes s'arrêtent et redémarrent. La position de ces arrêts et redémarrages est très importantes pour donner du réalisme à l'effet. Si vous avez un accord sur trois cordes et que vous faites un pitchbend, dans la réalité il y a toujours un décalage ; Ce stop-and-play va le simuler.
- D : limite de démarrage de la dernière note.
- E : ligne médiane figurant le pitch inactif.
<- Un shunt du son peut-être réalisé avec le code controle 7.
En ouvrant la liste des événements nous pouvons voir comment ces données vont être traitées par le synthétiseur.->
Pitchbend qui sert de liaison entre deux notes
Le fichier segment-2.ogg produit ce son, un genre de Ting Touououiiiouououout Tong, que je décrirai comme :
- une note, puis un ton plus bas, poussée de la corde sur le manche en la guidant sur la barrette pour revenir au ton de la première note, puis relâchement et passer à la note un ton plus bas.
Dans ce segment vous entendez une première suite sans pitchbend pour décrire le son net, puis la seconde suite avec le pitchbend pour entendre le son souhaité.
Nous voyons dans l'éditeur matriciel les notes positionnées seule la deuxième série de 3 notes nous intéresse :
- A première note intégrale
- B attaque de la deuxième note, sans silence avec la première.
- C la ligne indique le début du picthbend après l'attaque de la note. le nombre d'instance pitchbend varie suivant le souhait du compositeur, d'avoir un son fluide ou brutal.
à noter
L'intervalle entre deux valeurs de pitch rapprochées représente un écart de fréquence audible infinitésimal. Il est donc inutile de créer un grande quantité d'instances. l'oreille.... tout à l'oreille comme n'a jamais dit Beethoven
- D La ligne indique la fin du pitchbend. Nous remarquons la pente de l'attaque et la descente abrupte pour revenir à la note initiale
- E passage à la troisième note, sans silence.
Dans la liste des messages, hormis les 5 première notes nous remarquons que les ptichbend intervenant après une seule note sont groupés, contrairement au paragraphe du dessus où ils étaient éparpillés avec les débuts et fins de notes.
Au passage, on voit les initialisations des contrôles habituels le contrôle 7 volume, le 10 balance au centre et le 91 dosage de la réverbération initialisé dans QSynth (voir la configuration dans le paragraphe prérequis)
Pitchbend suite 1
Dans le segment-3.ogg vous entendez une première suite sans pitchbend pour décrire le son net, puis la seconde suite produit une série de deux effets, décrit comme au paragraphe du dessus, mais l'application du pitchbend dans le deuxième jeu est légérement décalé.
Nous voyons dans l'éditeur matriciel les notes positionnées (la partie sans effet a été masquée :
- A départ de l'effet quasi immédiatement après le départ de la note.
- B retour à la hauteur initiale brutalement (comme si la corde était lâchée
- C après une infime pause à la note initiale descente abrupte un ton en dessous dont la hauteur est équivalente à la future note de transition.
- D retour à la note initiale, mais la première note a été interrompue avant ce retour
- E un décalage infime pour simuler un effet de gratter par médiator sur la même note.
- F Cet intervalle de pitchbend est décalé par rapport au début de la note, toujours dans un but de réalisme, ainsi que le décalage qu'il y avait en E est supprimé.
- G La fin d'une note se superpose légérement au départ de l'autre, pour simuler unraté
petit truc
Pour copier des messages contrôleurs avec Rosegarden voyez ici
On voit ci-joint que la structure des positions de ptichbend est identique pour les deux jeux. Seul l'écart entre le départ des notes 76 (Mi4) en 005-02 et 005-04 et le débuts des pitch bend est sensiblement différent.
Pitchbend suite 2
Dans le segment-4.ogg vous entendez une première suite sans pitchbend pour décrire le son net, puis la seconde suite produit une série de deux effets, décrit comme au 1° paragraphe, mais l'application du pitchbend
Nous voyons dans l'éditeur matriciel les notes positionnées (la partie sans effet est sans intérêt). On remarque que la note qui subit l'effet est interrompue.
- A départs des pitchbend, leur pentes sont sensiblement identiques, ces pentes donneront la durée de la montée en hauteur de la note, si vous placez une pente douce, vous devrez placer plus d'occurrences de pitch, pour éviter un son en escalier.
- B durée des pitchbends. Le premier est court avec fin abrupte, dans le but de donner une impression de relâchement, la deuxième durée de pitch dépasse la fin de note, vous pouvez l'accompagnée d'un shunt par le code contrôle 7 et aussi, vers la fin du pitch d'une modulation code contrôle 1.
- C la fin du pitch intervenant juste après la fin de note peut-être considéré comme un retour au pitch de base pour les notes qui suiveront.
ATTENTION
Pensez toujours à remettre le pitch à la valeur de base.
Comme il est difficile de placer la valeur graphiquement : placez une occurence le plus près possible et passez par l'éditeur d'événements (s'il existe dans le séquenceur) pour y modifier la valeur.
Dans le séquenceur utilisé ici, les valeurs de base sont 3F 7F.
- D La coupure de la note dans la hauteur stable du pitch est faite pour figurer un coup de médiator quand la note est poussée. Ce qui se passe généralement, puisque l'action de "triturer" la corde lui fait perdre de la résonance, il faut alors la booster un chouia.
La structure des positions et valeur data des ptichbends est sensiblement identique pour les deux jeux. Les différentes ont toujours pour but d'apporter un style aléatoire qui renforce l'impression de son d'imstrument réel.
Pitchbend suite 3
Dans le segment-5.ogg Il s'agit d'un exemple de ptichbend avec réverbération soutenue qui se termine par un shunt et une évacuation vers la gauche.
Le souhait est de créer un son qui va partir du centre vers le canal gauche en s'affaiblissant et descendant de 2 ou 3 tons.
Pour obtenir l'amplitude de la variation de ce ton, il nous faut débuter une note au pitch maximum et finir sur une note un ton plus bas au pitch minimum
La base est de couper une note (69 la 3) pour simuler le coup de médiator, juste au départ du pitchbend.
- A le départ du pitchbend coïncide avec la coupure de la note.
- B la montée abrupte mène le ton à la note supérieure. Puis changement de note : sur un instrument physique cette action correspond au placement du doigt sur le manche d'une ou deux barrettes en-dessous en maintenant la poussée sur la corde .
- C descente du pitch vers le minimum.
- D maintient au minimum : sur un instrument physique cette action correspond à l'affaiblissement de la poussée et, dans le même temps, le doigt glisse une barrette en-dessous en maintenant le son.
- E coupure de la note simuler un passage à la note supérieure.
L'évacuation vers le canal gauche avec le code contrôle 10 est réalisé en pente douce A, puis rétablit au centre en B après la fin du son.
Pour le shunt avec le contrôleur 7 c'est identique au premier paragraphe.
Au début on remarque la valeur du contrôle de réverbération 91 placé à 120 juste avant le départ de la séquence. Dans le jeu, d'où est extrait cette séquence, la valeur est de 15.
Les valeurs du contrôleur 7 (volume) ont été supprimées pour clarifier la lecture. On peut voir les valeurs du contrôleur de balance 10 alterner avec les occurrences du pitchbend.
Liens
Pour avoir une idée de ce que l'on peut obtenir, voici un lien sur un titre qui utilise ces méthodes ; tous les instruments sont MIDI.