Historique: ArchLinux
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Archlinux est une distribution GNU/Linux créé par Judd Vinet en 2001,dérivée de Crux Linux. La première version «Homer» apparaît en mars 2002.
Cette distribution se concentre sur le minimalisme, l’élégance, la correction de code et la modernité. C'est une distribution mise à jour perpétuelle (rolling release) mêlant paquets binaires via pacman et compilation des sources via le dépôt utilisateurs arch (Arch User Repository), autrement appelé AUR.
Liens utiles :
Site officiel : https://www.archlinux.org
Site francophone : https://www.archlinux.fr
Page wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arch_Linux
Canal IRC : #archlinux-fr @ irc.libera.chat
Canal IRC : #archlinux @ irc.libera.chat
Keep it Simple, Stupid (KISS) ! ArchLinux se base sur ce principe en étant rapide, légère, flexible et simple. ArchLinux veut donc proposer une distribution en toute simplicité. Attention, simple techniquement ne veut pas dire facile à l'installation. En effet, une fois l’installation de base terminée, on se retrouve devant une console et puis c’est tout ! Pas d'environnement graphique par défaut, pas de logiciel inutile : juste le noyau et de quoi se connecter à Internet. Ce sera à vous, et uniquement à vous de monter votre système d'exploitation dédié à la MAO comme bon vous semble, brique par brique.
ArchLinux a pour particularité de ne pas sortir de versions définitives. Jamais vous n'aurez à réinstaller votre système pour une nouvelle version ! Lorque l'on vous parle de nouvelle version d'ArchLinux, il faut comprendre que c'est uniquement l'installateur d'ArchLinux qui est ajouré. Les mises à jour se font continuellement, au fur et à mesure de la sortie d'un nouveau noyau et paquets/logiciels. C'est un des points vraiment appréciables d'ArchLinux car l’utilisateur a toujours un système à jour (dernier cri), tout en gardant un système parfaitement stable. Vous bénéficiez aussi de logiciels dans des versions plus récentes que dans la plupart des autres distributions (vous aurez moins de temps à attendre pour la sortie d'une nouvelle fonctionnalité par exemple, ou des bogues plus rapidement corrigés). Il n’y a pas de changement de version brusque et dangereuse à faire. Vous aurez donc les toutes dernières versions des logiciels MAO... et ceci très simplement.
Tout ceci est rendu possible par un système simple de gestion des paquetages binaires : pacman qui permet la mise à jour de l'intégralité du système en une seule commande. ArchLinux utilise également un système de construction de paquetages (ABS: Arch Build System) semblable aux ports BSD pour faciliter la construction de paquetages, qui pourront eux aussi être mis à jour rapidement. Enfin, vous pouvez recompiler votre système en entier avec une unique commande. Tout cela de façon simple et transparente. Les trois dépôts binaires principaux sont core, extra et community.
Quant à yay, il permet d'avoir un accès direct à AUR (Arch Linux User-Community Repository). Qu'est ce que AUR ? c'est une des très grandes forces d'ArchLinux ! Contrairement aux autres dépôts dit principaux, AUR est le dépôt des utilisateurs d'ArchLinux. C'est le lieu de naissance des nouveaux paquets ArchLinux. Dans AUR, les utilisateurs contribuent avec leur propres paquets. La communauté d'AUR vote pour ou contre eux, et une fois qu'un paquet a suffisamment de votes, un utilisateur de confiance (TU, Trusted User) le place dans le dépôt community, qui est accessible avec pacman et ABS. Mais si vous n'avez pas envie d'attendre qu'un paquet soit présent sur community, yay est là pour vous simplifier grandement la vie en intégrant les outils de pacman avec les dépôts principaux et AUR. On peut aussi installer les paquets AUR en les compilant soi-même (certains paquets sont destinés à rester dans le dépôt AUR car leur paramétrage se fait directement dans le code source, généralement de façon simple et bien documentée).
le guide d'installation d'Archlinux ci-dessous est un guide rapide qui vous présente le plus simplement possible comment mettre en place le système d'exploitation.
Vous pouvez opter pour une installation à partir d'un CD/DVD ou clé USB, et si vous avez déjà une distribution Linux, vous pouvez lancer l'installation directement depuis cette distribution, dans un terminal (c'est simple et rapide).
Archlinux est optimisé pour les CPU x86_64 (64 bits). Vous pouvez trouver les fichiers ISO d'installation à cette adresse : Télécharger Archlinux. Les ISO d'installation d'ArchLinux sont des ISO dit hybrides, c'est-à-dire qu'ils peuvent autant se graver sur CD/DVD que s'installer sur une clé USB.
Deux sortes d'ISO s'offrent à vous : netinstall ou core. Netinstall signifie que l'installation sera faite via Internet (la taille de l'ISO est donc faible). A l'inverse, core contient tous les fichiers d'installation dans son ISO (même si l'installation via Internet reste possible). Lequel choisir ? C'est vous qui voyez. Je vais toutefois donner ce conseil aux débutants : si vous possédez un ordinateur relié à Internet de préférence en ethernet (filaire), vous pouvez prendre le netinstall. Par contre, si vous avez Internet par wifi, prenez plutôt le core, parce qu'une connexion "wifi" est un peu plus complexe à configurer qu'une connexion par câble.
Une fois l'image ISO gravée sur CD/DVD ou clé USB, configurez le BIOS pour booter (démarrer) sur votre média contenant l'ISO.
Ceci fait, vous devriez avoir cette image au démarrage de votre ordinateur : {SPLIT(colsize=>1000|400)}
Sélectionnez Boot Arch Linux avec Entrée. Le système se lance et vous arrivez dans un terminal en ligne de commande. Tapez "root" (pour se connecter en root).
Une fois ceci fait, tapez la commande suivante dans la console :
Un message d'accueil apparaît alors pour vous informer que la combinaison ALT+F7 permet de consulter le journal de l'installation au cas où...
Faîtes OK.
Ensuite s'affiche le menu du choix du média d'installation : soit via cd (c'est-à-dire par le support amovible monté avec les paquets ArchLinux), soit net par un serveur FTP/HTTP.
Si vous choisissez cd, vous passerez directement au menu Set Clock.
Si vous choisissez net, configurez le réseau (Setup Network) et choisissez le miroir d'installation (Choose Mirror).
Lors de la configuration du réseau, l'écran affichera les interfaces réseaux détectées. Sélectionnez celle que vous voulez utiliser. Puis, ArchLinux vous proposera d'utiliser DHCP (protocole réseau dont le rôle est d'assurer la configuration automatique des paramètres IP d'une station) ou de configurer votre réseau manuellement.
Pour DHCP, rien n'est compliqué, il suffit d'attendre que le réseau soit configuré... si DHCP en trouve un.
Si vous avez choisi la méthode manuelle alors il faudra entrer l'adresse IP, le masque de sous-réseau, l'adresse de diffusion, l'adresse IP de la passerelle, le serveur DNS ainsi que l'adresse du proxy (laisser le champ libre si vous n'en n'utilisez pas).
Dans tous les cas, pour tester le réseau, tapez :
Faîtes CTRL+C pour arrêter le processus.
Si vous avez opté pour la netinstall choisissez un miroir pour la France, ex:
Rien de bien compliqué ici, il suffit de choisir le bon fuseau horaire puis de régler l'horloge matérielle. Vous aurez alors le choix entre UTC et localtime. Choisissez de préférence UTC car votre horloge sera configurée sur le système GMT (temps moyen de Greenwich) au lieu d'être configuré par l'heure locale de votre ordinateur.
La fenêtre suivante vous propose de régler l'heure et la date soit par ntpd (daemon)(si votre réseau est configuré et que vous avez accès à Internet), soit manuellement. Attention, ces changements sont nécessaires uniquement si la date et l'heure indiquées ci-dessus sont fausses.
❗Le partionnement est une opération qui n'est pas forcément évidente et dont les effets peuvent être irréversibles❗
💡Les exemples donnés (le choix du système de fichiers ou la taille de /) sont donnés à titre purement indicatif. Libre après à vous de fait comme bon vous semble.💡
Si vous décidez de partionner automatiquement le disque dur (et d'effacer toutes les données dessus), rien de plus simple, sélectionner Auto Prepare. Il vous est demandé successivement le système de fichiers et la taille de /boot, swap, / et /home.Pour /boot, sélectionner les systèmes de fichiers ext2 et 32 Mo de mémoire, c'est largement suffisant. Pour swap, sélectionner le système de fichiers swap et 2 fois votre RAM si elle est inférieure à 1 Go ou la taille de votre _RAM si celle-ci est supérieure à 1 Go. Pour /, (il est conseillé reiserfs plus rapide et stable car pacman gère une quantité de petit fichier) et pour la taille minimum entre 7 et 10 Go voir plus (cela dépendra de votre utilisation). Pour home, sélectionner un système de fichier(ex:ext4) sur l'espace disque restant. Puis confirmez les changements. Si tout se passe bien, vous devriez obtenir le message suivant : "Auto-prepare was successful"
Si vous décidez de partionner manuellement, alors vous devez réfléchir à votre schéma de partion (/boot, /, /home, /var ?). Une fois Manually Partition Hard Drives sélectionné, on vous propose de choisir le support à partitionner (/dev/sda dans la quasi-majorité des cas). Puis vous aurez un écran qui s'affichera (cfdisk) où sont listés vos partions existantes (de là, vous pouvez les supprimer, modifier et créer vos proprers partions pour ArchLinux (en prenant par exemple le schéma de partition automatique comme modèle). Une fois que vous avez créé vos partitions, sélectionnez Write, puis DONE.
Ceci fait, sélectionner manually Configure block devices, puis /dev/sd(x) (là où vous avez créé vos partitions). L'écran affichera le menu de gestion des disques où les modifications faites seront listées. Sélectionnez une à une chaque partitions réservées pour ArchLinux (ex: sda1,sda2,sda3,sda4) et renseignez vos points de montage : /, swap, /boot, /home... pour chaque partition. Une fenêtre vous demandera si vous voulez spécifier des actions supplémentaires. Sinon, vous pouvez laisser le champ vide.
Bon ben là... faites Ok pour dire que vous êtes prêt pour l'installation. Puis allez boire un petit café (surtout si vous devez télécharger les paquets avant😁).
Allez ! Autre gros morceau de l'installation😕.
Tout d'abord, on vous demande si vous voulez inscrire la configuration du réseau dans les fichiers de configuration... si vous l'avez configuré avant bien entendu, entrez : yes.
Il vous est demandé de choisir l'éditeur de texte en ligne de commande que vous voulez utiliser. Prenez celui dont vous avez l'habitude. Si vous n'en connaissez aucun, prenez nano. C'est le plus simple et ça suffit largement pour le moment. La seule combinaison de touche capitale à connaitre, c'est CTRL+X : elle permet de sauvegarder (en tapant "o" et entrée pour écrire) et quitter.
Pour /etc/rc.conf : /etc/rc.conf est le fichier central de configuration du système __ArchLinux. Il permet de regrouper plusieurs éléments tels que le chargement de module, le réseau ou encore les services en un seul fichier.
Pour /etc/fstab : à priori, rien à reconfigurer. Pour l'instant, il faut juste vérifier que les partitions d'ArchLinux sont bien présentes.
Pour /etc/mkinitcpio.conf : sauf si vous savez ce que vous faites, ne touchez à rien. Si vous disposez d'un clavier USB, vous pouvez indiquer usbinput dans HOOKS
Pour /etc/modprobe.conf : rien à faire car le chargement des modules s'effectue par /etc/rc.conf
Pour /etc/resolv.conf : si vous avez configuré votre réseau par DHCP, tapez la commande :
Si vous avez configuré manuellement votre réseau, rentrez ici les DNS.
Pour /etc/hosts : il faut impérativement vérifier que le nom de votre PC est présent sur la ligne localhost. S'il n'y est pas, c'est que vous avez oublié de le mettre sur la ligne HOSTNAME de /etc/rc.conf.
Pour /etc/hosts.deny et /etc/hosts.allow : le mieux serait de le laisser inchangé sauf évidemment si vous savez ce que vous faites. En tous cas, si plus tard vous voulez gérer des accès réseaux par exemple ssh, vous savez où se trouvent les fichiers.
Pour /etc/locale.gen : enlever le # pour décommenter les locales désirées souvent les lignes fr_FR.UTF-8 UTF-8, fr_FR ISO-8859-1 et fr_FR@euro ISO-8859-15 (pour les francophones).
Pour /etc/pacman.d/mirrorlist : décommentez les miroirs que vous voulez utilisez (pour la France décommentez tous les miroirs français). Le mirrorlist est régulièrement mis à jour (/etc/pacman.d/mirrorlist.pacnew à renommer en mirrorlist) ou utilisez l'outil rankmirrors.
Enfin, il vous reste à sélectionner votre mot de passe root. Pour rappel, si rien ne s'affiche à l'écran lorsque vous tapez votre mot de passe (pas même des *), c'est normal. C'est une vieille tradition dans UNIX. Attention à la casse également😉.
Puis... sélectionnez Return
Vous aurez alors le choix entre installer GRUB ou ne pas installer de chargeur de démarrage. Je vous recommande d'installer GRUB tout de même. Démarrer un système d'exploitation sans bootloader, ce n'est pas pratique😂. Et je doute que vous ayez envie d'installer votre propre chargeur (m'enfin on sait jamais...).
Le fichier est normalement déjà rempli. Vous aurez ici plus un rôle de vérification pour vous assurer de la durée d'attente (timeout) et du chemin d'entrée par défaut (default).
Vous pouvez à votre guise rajouter une entrée. D'ailleurs, le fichier décrit comment spécifier une entrée pour GNU/Linux et Windows.
Quittez en sauvegardant (CTRL+X pour nano) le fichier de configuration. GRUB demandera alors où il doit s'installer. Répondez /dev/sda sauf si vous avez installé votre système de manière un peu plus particulière.
Si vous ne disposez pas de système RAID, répondez No à la question suivante.
Vous avez alors fini l'installation😬. Enfin😛. Tapez la commande suivante :
Et entrez de plein pied dans le monde magnifique d'ArchLinux😎
Si vous avez déjà une distribution Linux, l'intérêt de cette méthode est de passer directement par un terminal, sans utiliser de CD ou de clé USB. Il vous faudra une connexion à internet pour télécharger le système.
Assurez-vous d'abord d'avoir au moins 5 à 10Gio de libres pour pouvoir installer le système et tous les logiciels dont vous aurez besoin pour la MAO. Préparez aussi au moins une nouvelle partition pour accueillir ArchLinux, et éventuellement d'autres, si par exemple vous désirez avoir votre /home sur une partition à part. Vous pouvez créer et formater ces partitions en ext4 avec gparted par exemple, application graphique présente sur de nombreuses distributions.
Ensuite, il vous faut l'iso archlinux-bootstrap (pas l'autre!), disponible ici : https://archlinux.org/download/
.
Pensez à vérifier l'intégrité du fichier avec md5sum par exemple pour éviter les problèmes de téléchargement.
Une fois que la ou les nouvelles partitions sont prêtes, et que vous avez l'iso sous la main, il ne vous reste plus qu'à ouvrir un terminal !
Déplacez le fichier téléchargé là où vous voulez travailler, on va dire dans /tmp, décompressez l'archive et allez dans le dossier qui vient d'apparaître (nommé root.x86_64) :
Sélectionnez ensuite des miroirs à partir desquels seront téléchargés le système et les logiciels. Si vous êtes en France, décommentez les serveurs français (en retirant le "#" en début de ligne)
On va y entrer par chroot, c'est-à-dire que le système sera chargé sur votre machine depuis votre distribution actuelle, directement dans le terminal. C'est un peu comme si vous l'ouvriez dans une machine virtuelle.
Initialisez ensuite les clés cryptographiques :
Montez ensuite les partitions que vous avez préparées :
C'est le moment de lancer un script qui va télécharger et construire la base d'ArchLinux : pacstrap. Vous pouvez aussi lui donner une petite liste de logiciels à télécharger au début, en les ajoutant à la fin de la commande, en les séparants avec des espaces. Ici, on télécharge aussi linux-firmware et linux-headers, croyez-moi il vaut mieux les prendre. Si vous utiliser le wifi, je vous conseille aussi wpa_supplicant et dhcpcd, pour accéder à internet et télécharger d'autres logiciels ensuite. Et enfin, prenez aussi un éditeur de texte (parce que oui, de base il n'y en a pas), ça vous sera utile pour configurer le système.
Cela donne :
Votre système ArchLinux est prêt ! Mais avant, il reste un dernier détail, générer un fichier fstab :
Maintenant, on peut "chrooter" dans ArchLinux :
À ce moment-là, vous pouvez utiliser le gestionnaire de paquet pacman si vous avez oublié d'installer un paquet et que vous le voulez installé quand vous redémarrerez sur ArchLinux (vous pouvez déjà installer sudo, par exemple).
Vous pouvez ensuite configurer l'heure et la langue selon vos préférences, on va supposer que vous voulez un système en français et que vous habitez en France :
Avec un éditeur de texte, nano ou vim, par exemple (si vous n'en avez pas installé, vous pouvez le faire maintenant avec pacman -S nano), configurez comme suit :
- Décommentez fr_FR.UTF-8 dans /etc/locale.gen
- Lancez la commande locale-gen
- Ajoutez LANG=fr_FR.UTF-8 dans /etc/locale.conf
- Ajoutez KEYMAP=fr-latin1 dans /etc/vconsole.conf
(- Si vous utiliser un mappage de clavier personnalisé, ajoutez KEYMAP="/usr/local/share/kbd/keymaps/personal.map" avec le nom du mappage personnalisé)
- Écrivez le nom de votre ordinateur (qui sera affiché sur les réseaux) dans le fichier etc/hostname
- Ajoutez votre ip locale dans /etc/hosts :
127.0.0.1 localhost
::1 localhost
Enfin, définissez un mot de passe pour vous connecter en root au démarrage :
C'est presque terminé ! Vous pouvez fermer le terminal. Mais avant de redémarrer, il reste à faire savoir à GRUB que le nouvel ArchLinux existe. Si vous avez Ubuntu, GRUB est déjà installé, et se montre au démarrage quand vous avez plus d'un système d'exploitation d'installé. Si vous n'avez pas GRUB, il est recommandé de l'installer.
Quittez l'environnement de chroot ou fermez le terminal et relancez-le, puis mettez à jour la liste des OS pour GRUB :
Et voilà, en redémarrant, vous pourrez sélectionner ArchLinux. Si vous n'êtes pas familier avec l'environnement de GRUB, lisez sa documentation, vous pourrez changer de nombreux paramètres, comme le temps d'affichage avant la sélection du choix par défaut, un fond d'écran, de nouvelles couleurs, etc.
Rappel:
présentation de pacman:
gestionnaire de paquetage pacman
Présentation de Makepkg:
http://wiki.ArchLinux.fr/Makepkg
ABS:
http://wiki.ArchLinux.fr/Abs
AUR:
http://wiki.ArchLinux.fr/AUR
mot de passe utilisateur(2x):
"Grouper" l'utilisateur,voir ici:
D'autres ajouts de goupes sont possibles:
Utiliser les groupes sous Arch Linux
http://wiki.ArchLinux.org/index.php/Groups en anglais
Si vous avez opté pour une netinstall le reseau est déja ok sinon :
Pour voir les interfaces réseaux disponible sur votre machine, tapez la commande suivante :
Comme expliqué dans le /etc/rc.conf:# Use 'ifconfig -a' or 'ls /sys/class/net/' to see all available interfaces.
La configuration réseau de base se trouve donc dans : /etc/rc.conf (section NETWORKING):
Ex (ip statique eth) :
Ex (dhcp):
Pour le DHCP n'oubliez pas le ! (ROUTES=!gateway) (# - prefix an entry in ROUTES with a ! to disable it)!
La section networking du /etc/rc.conf étant réédité, relancez la nouvelle configuration réseau avec la commande :
❗Vous avez remarqué "network" est un daemon (rc.conf). Rappel Daemonen.
💡Rajouter un "@"devant network dans ligne des démons du rc.conf réduira considérablement votre temps de boot ! (le @ indique à un démon de démarrer en tâche de fond).
IP statique : spécifiez vos DNS dans /etc/resolv.conf par ex:
En outre vous pouvez configurer le réseau directement dans un terminal :
DHCP :
IP statique :
Pour configurer manuellement votre passerelle, tapez :
Bien entendu, il faudra s'assurer que votre serveur DNS soit contenu dans le fichier /etc/resolv.conf comme vu plus haut.
Si vous voulez vous connecter en Wifi, la chose est un peu plus compliquée,voir ici. Il vous faudra d'abord vérifier que vous disposez du paquet wireless_tools. Tapez en ligne de commande :
.
Puis, avec la commande ifconfig vue plus haut, l'interface wifi sera désignée généralement par wlanx (ou x est un nombre) ou parfois par athx pour les possesseurs de carte Atheros. Si à la ligne correspondant à wlan0 ou ath0, vous avez no wireless network, c'est que vous n'avez pas de chance et que votre carte wifi n'est pas reconnue nativement. Vérifiez tout d'abord votre carte wifi avec la commande suivante :
et voyez sur le wiki officiel avec l'outil ndiswrapper.
❗Attention, pour les possesseurs de carte Atheros, il est conseillé d'installer le paquet madwifi avec :
.
Une fois que votre interface réseau est reconnue, tapez la commande suivante pour charger votre carte wifi (caption=code : démarrer le wifi)}~# ifconfig wlan0 up {CODE}
Puis scanner les réseaux wifi disponibles avec :
Si le réseau wifi est crypté WEP, tapez la commande suivante en remplaçant les <*****> par les informations données par la commande d'au-dessus :
Si le réseau est crypté en WPA, il faudra vous assurer d'avoir l'outil wpa_supplicant :
Ce paquet crée un fichier /etc/wpa_supplicant.conf qui contient un bon nombre d'exemples de configuration. Vous pouvez l'éditer directement ou créer le vôtre. Vous pouvez mettre autant de champs que vous voulez. Ça se connectera au réseau disponible, en testant dans l'ordre d'inscription. Configurez votre réseau comme il se doit et entrez la commande suivante :
Une fois cela fait, tapez :
Dans tous les cas, pour tester votre connexion, faites :
Crtl+C pour arrêter le processus.
Vous pourrez plus tard installer un gestionnaire de connexion en GUI par exemple wicd.
(voir aussi la définition de Xorg)
Xorg 1.8, hal est déprécié, udev détecte lui même votre matériel. En revanche, n'oubliez pas d'installer evdev.
L'utilisation de la commande X -configure générant un xorg.conf n'est plus conseillée/nécéssaire (sauf materiel/carte graphique "particulier"et/ou installation pilote proprio ex: nvidia xconfig).
❗Le clavier en Français (ici avec l'éditeur nano):
On trouve la (2e) section, contenant MatchIsKeyboard "on" et on ajoute juste en-dessous : Option "XkbLayout" "fr"
Optionnel : réactiver Ctrl-alt-backspace et activer Compose sur la touche menu :
Touchpad synaptics:
En fonction de la sortie de commande soit installer le pilote libre:
pilotes libres
soit le pilote proprietaire:
Nvidia
ati
ex:(carte intel)
http://wiki.archlinux.fr/Cat%C3%A9gorie:Environnement_graphique
Gestionnaire de bureaux (desktop: DE)
gestionnaire de bureaux
Gestionnaires de fenetres: (window managers: WM):
gestionnaire de fenetres personnalisé
WM
Exemple(fluxbox):
Le demarrage de Xorg s'effectue avec la commande:
Avant cela, vous devez modifier votre ~/.xinitrc pour que cette commande (startx) démarre Xorg avec votre environnement "graphique":
Ce dernier par défaut ressemble à :
Créez/éditez le pour votre utilisateur (/home/utilisateur/.xinitrc)et spécifiez votre DE, WM, ... choisi .
Ex:
💡Pour une connexion automatique sur Xorg (sans saisir startx):
Dans un premier temps modifiez seulement votre /etc/inittab comme indiqué pour un utilisateur unique(commentez/décommentez suivant):
par
Remplacez "moi" par l'utilisateur désigné .
voir: http://wiki.ArchLinux.org/index.php/Start_X_at_boot en anglais.
Entre autre vous pouvez choisir pour un gestionnaire de connexion en mode graphique (kdm, gdm, slim....) à spécifier dans la ligne DAEMONS du /etc/rc.conf
Ex pour kdm:
http://wiki.ArchLinux.org/Alsa(Français)
Pour voir si la (ou les) carte est de suite reconnue, faire :
Configuration:
Régler les volumes sonores:
Tester votre son:
Si vous entendez: psschtttgruikschweppesenverlan, c'est que ça fonctionne!!!😀
ou:
Tester systeme 5.1:
Garder en mémoire les volumes:
Restauration automatique du volume au démarrage:
Il faut donc rajouter alsa à la ligne DEAMONS=(…).
Le paquet alsa-oss qui assure la compatibilité ascendante avec les logiciels utilisant OSS.
Ajout d'un nouvel utilisateur au groupe audio:
Probleme:
Microphone non fonctionnel:
...page... Wiki page pagination has not been enabled.
Temps-réel
Vous devez impérativement configurer P.A.M. pour utiliser jack en mode temps-réel
Sous ArchLinux le fichier de configuration est /etc/security/limits.conf
se reporter à la page accès temps-réel pour les application pour savoir comment modifier ce fichier (Obligatoire !!)
http://wiki.archlinux.org/index.php/Realtime_for_Users#PAM-enabled_Login
Limite système
Pour activer les paramètres dans /etc/security/limits.conf vous devez utiliser un activant PAM: méthode de gestionnaire de login. Presque tous les gestionnaires de connection graphique sont pam-enabled. Vous pouvez vérifier par la recherche de la ligne connexes /etc/pam.d:
Si vous préférez ne pas avoir un gestionnaire de connection graphique, vous devez modifier PAM pour su:
Si vous démarrez depuis un gestionnaire de connexion tel que GDM ou KDM, vous pouvez utiliser PAM pour le démarrer en automatique avec une session, il suffit pour cela de rajouter le connecteur adéquat au service PAM concerné, gdm (/etc/pam.d/gdm) pour GDM et kdm (/etc/pam.d/kde) pour KDM:
Voir aussi:http://wiki.archlinux.fr/Consolekit#M.C3.A9thode_PAM
irq
irqbalance:
Question générale (s) avec (temps réel) noyaux:
Voir la priorité des applications
http://www.latencytop.org/index.php
x-runs
Si vous êtes face à un grand nombre de xruns en particulier avec NVIDIA, désactivez votre GPU d'étranglement.Cela peut se faire via l'applet de contrôle de la carte et pour nvidia, pour une performance maximale.
❗Pour les disques durs, il est très important que le disque dur servant aux enregistrements soit sur un autre contrôleur (câble) que le disque système.
Se reporter à la page dédiée configuration de jack
L'objectif ici est de trouver la meilleure combinaison possible de la taille du tampon et des périodes, étant donné le matériel dont vous disposez. Pour les dispositifs USB, une période de 3 est toujours un must. En outre, la fréquence d'échantillonnage doit correspondre à la fréquence d'échantillonnage du matériel. Le plus souvent, 48000Hz est le défaut commun à beaucoup de dispositifs d'aujourd'hui. Une zone tampon de 256. En outre, vous pouvez comme pour définir la priorité maximum (au moins 10 inférieures aux limites du système, le plus haut est pour le périphérique lui-même).
Ex:
{QUOTE}
S'assurer que les modules du noyau appropriés sont chargés:
Pour l'ancienne pile (par exemple, des noyaux personnalisés):
Suis-je dans le groupe vidéo?
Ou n'importe quel autre groupe a accès à /dev/fw1 (/dev/raw1394 in old stack):
code : lister groupe pour fw1 ^~$ ls -l /dev/fw1 | awk ' {print $4}'^
Vous pouvez également modifier les autorisations pour vos besoins:
Vous devriez, cependant, définir votre architecture CPU pour le matériel approprié permettra une bonne partie de l'optimisation.
A savoir aussi que le noyau ArchLinux est déja préemptif (noyau temps réel) donc à vous de voir si vous avez besoin réellement de le recompiler... .
voir le dossier sur la compilation d'un noyau RT
Voir : https://wiki.archlinux.org/index.php/Kernel_Compilation
Depuis AUR vous avez deux options:
kernel26rt
kernel26-rt-ice
Le premier est un noyau temps réel standard, tandis que le second comprend des correctifs que certains peuvent considérer comme être mauvais, alors que pour d'autres c'est une bénédiction(d'autres noyaux RT sont disponibles ex: RTPAE...).
Une fois compilé/installé votre noyau RT n'oubliez de configurer le bootloader (voir plus bas).
Vous pouvez exécuter ABS (l'installer en premier), et de recompiler kernel26 avec le patch. Toutefois, ce n'est pas la plus utile des méthodes car les mises à jour écraserons votre noyau personnalisé pour éviter cela vous devez au moins changer le nom du noyau créé "pkgname".
Méthode simple avec ABS rappel:
Installer le PKGBUILD nécessaire à la compilation du kernel:
En utilisateur normal!:
Vous devez vous assurer de aidez vous ici:
Préemption complête:
Réglage de la fréquence de l'horloge interne
Ne pas avoir d'options de débogage:
Installation du nouveau kernel:
ex:
Modification du bootloader grub:
Exemple de configuration de grub: 'fichier /boot/grub/menu.lst':
ex:
Rebootez.
Realtimeconfigquickscan:
https://github.com/raboof/realtimeconfigquickscan
A installer avant:
Installez vos applications audio préférées par ex:
Vous en trouverez multitude d'autres sur AUR que vous compilerez avec yay ou créer vos propres paquets avec d'autres sources.
❗Si pacman ne trouve pas votre paquet, utilisez yay 💡
Comme vous êtes des musiciens partageurs😁 (pacman -Rf hadopi👻):
diffusez votre musique librement via mpd et votre web radio icecast🎅:
http://wiki.ArchLinux.fr/MPD
Ajoutez l'utilisateur mpd au groupe utilisateurs :
Exemple de /etc/mpd.conf: (avec icecast)
oui c'est un daemon! 😁
N'oubliez pas de le rajouter aux DEAMONS du rc.conf pour le démarrage automatique au boot.
Depuis le client/éditeur par ex:
Connectez vous sur votre serveur mpd ici exemple avec gmpc en réseau local: (connection, préférence: nom: nomdelabécanne, hôte: ip, port: 6600)
Il existe beaucoup d'autre client (ncmpc, ncmpcpp, dmpc, pms, ario, sonata, qmpdclient ...)
Le client/lecteur:
ex:(ogg)
Vous pouvez aussi utiliser votre navigateur favori ou vlc.
Ne reste plus que:
et le tour est joué ou presque 😉
😎
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Cette distribution se concentre sur le minimalisme, l’élégance, la correction de code et la modernité. C'est une distribution mise à jour perpétuelle (rolling release) mêlant paquets binaires via pacman et compilation des sources via le dépôt utilisateurs arch (Arch User Repository), autrement appelé AUR.
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Informations
Liens utiles :
Site officiel : https://www.archlinux.org
Site francophone : https://www.archlinux.fr
Page wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arch_Linux
Canal IRC : #archlinux-fr @ irc.libera.chat
Canal IRC : #archlinux @ irc.libera.chat
Pourquoi utiliser ArchLinux pour faire de la MAO ?
Principe du KISS
Keep it Simple, Stupid (KISS) ! ArchLinux se base sur ce principe en étant rapide, légère, flexible et simple. ArchLinux veut donc proposer une distribution en toute simplicité. Attention, simple techniquement ne veut pas dire facile à l'installation. En effet, une fois l’installation de base terminée, on se retrouve devant une console et puis c’est tout ! Pas d'environnement graphique par défaut, pas de logiciel inutile : juste le noyau et de quoi se connecter à Internet. Ce sera à vous, et uniquement à vous de monter votre système d'exploitation dédié à la MAO comme bon vous semble, brique par brique.
Rolling Release
ArchLinux a pour particularité de ne pas sortir de versions définitives. Jamais vous n'aurez à réinstaller votre système pour une nouvelle version ! Lorque l'on vous parle de nouvelle version d'ArchLinux, il faut comprendre que c'est uniquement l'installateur d'ArchLinux qui est ajouré. Les mises à jour se font continuellement, au fur et à mesure de la sortie d'un nouveau noyau et paquets/logiciels. C'est un des points vraiment appréciables d'ArchLinux car l’utilisateur a toujours un système à jour (dernier cri), tout en gardant un système parfaitement stable. Vous bénéficiez aussi de logiciels dans des versions plus récentes que dans la plupart des autres distributions (vous aurez moins de temps à attendre pour la sortie d'une nouvelle fonctionnalité par exemple, ou des bogues plus rapidement corrigés). Il n’y a pas de changement de version brusque et dangereuse à faire. Vous aurez donc les toutes dernières versions des logiciels MAO... et ceci très simplement.
Pacman et yay : un système unique de gestion des paquets
Tout ceci est rendu possible par un système simple de gestion des paquetages binaires : pacman qui permet la mise à jour de l'intégralité du système en une seule commande. ArchLinux utilise également un système de construction de paquetages (ABS: Arch Build System) semblable aux ports BSD pour faciliter la construction de paquetages, qui pourront eux aussi être mis à jour rapidement. Enfin, vous pouvez recompiler votre système en entier avec une unique commande. Tout cela de façon simple et transparente. Les trois dépôts binaires principaux sont core, extra et community.
Quant à yay, il permet d'avoir un accès direct à AUR (Arch Linux User-Community Repository). Qu'est ce que AUR ? c'est une des très grandes forces d'ArchLinux ! Contrairement aux autres dépôts dit principaux, AUR est le dépôt des utilisateurs d'ArchLinux. C'est le lieu de naissance des nouveaux paquets ArchLinux. Dans AUR, les utilisateurs contribuent avec leur propres paquets. La communauté d'AUR vote pour ou contre eux, et une fois qu'un paquet a suffisamment de votes, un utilisateur de confiance (TU, Trusted User) le place dans le dépôt community, qui est accessible avec pacman et ABS. Mais si vous n'avez pas envie d'attendre qu'un paquet soit présent sur community, yay est là pour vous simplifier grandement la vie en intégrant les outils de pacman avec les dépôts principaux et AUR. On peut aussi installer les paquets AUR en les compilant soi-même (certains paquets sont destinés à rester dans le dépôt AUR car leur paramétrage se fait directement dans le code source, généralement de façon simple et bien documentée).
Installation et configuration d'Archlinux
note
Avant toute chose, il est conseillé de consulter le wiki officiel
pour obtenir les informations les plus à jour concernant l'installation d'Archlinux.
pour obtenir les informations les plus à jour concernant l'installation d'Archlinux. le guide d'installation d'Archlinux ci-dessous est un guide rapide qui vous présente le plus simplement possible comment mettre en place le système d'exploitation.
Vous pouvez opter pour une installation à partir d'un CD/DVD ou clé USB, et si vous avez déjà une distribution Linux, vous pouvez lancer l'installation directement depuis cette distribution, dans un terminal (c'est simple et rapide).
Installation de base d'Archlinux : depuis un CD/DVD ou clé USB
Archlinux est optimisé pour les CPU x86_64 (64 bits). Vous pouvez trouver les fichiers ISO d'installation à cette adresse : Télécharger Archlinux. Les ISO d'installation d'ArchLinux sont des ISO dit hybrides, c'est-à-dire qu'ils peuvent autant se graver sur CD/DVD que s'installer sur une clé USB.
code : installer l'iso d'Arch sur une clé
Copy to clipboard
~# dd if=image.iso of=/dev/sd[x]
Deux sortes d'ISO s'offrent à vous : netinstall ou core. Netinstall signifie que l'installation sera faite via Internet (la taille de l'ISO est donc faible). A l'inverse, core contient tous les fichiers d'installation dans son ISO (même si l'installation via Internet reste possible). Lequel choisir ? C'est vous qui voyez. Je vais toutefois donner ce conseil aux débutants : si vous possédez un ordinateur relié à Internet de préférence en ethernet (filaire), vous pouvez prendre le netinstall. Par contre, si vous avez Internet par wifi, prenez plutôt le core, parce qu'une connexion "wifi" est un peu plus complexe à configurer qu'une connexion par câble.
Une fois l'image ISO gravée sur CD/DVD ou clé USB, configurez le BIOS pour booter (démarrer) sur votre média contenant l'ISO.
Ceci fait, vous devriez avoir cette image au démarrage de votre ordinateur : {SPLIT(colsize=>1000|400)}
- Boot Arch Linux : démarrage normal
- Boot existing OS: booter un OS existant (sur le disque dur)
- Run Memtest86+: tester la mémoire vive (ram)
- Run x86test: tester votre CPU
- Reboot: pour redémarrer votre ordinateur
Sélectionnez Boot Arch Linux avec Entrée. Le système se lance et vous arrivez dans un terminal en ligne de commande. Tapez "root" (pour se connecter en root).
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Le clavier est configuré en QWERTY. Pour configurer le clavier en AZERTY (clavier français), tapez "km" (attention, comme je suppose que vous êtes avec un clavier type AZERTY, il faut en réalité tapez "k," mais cela devra afficher km sur l'écran). Vous arrivez devant l'écran ci-contre. Choisissez le clavier correspondant à votre modèle. Si vous disposez d'un clavier AZERTY avec clavier numérique choisissez fr-latin9. Si vous disposez d'un clavier sans pavé numérique (généralement pour les laptops), choisissez fr-pc. L'écran suivant vous permet de sélectionner une police de caractère. Si vous ne savez pas quoi choisir, faites Skip. |
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Une fois ceci fait, tapez la commande suivante dans la console :
code : démarrer l'installation
Copy to clipboard
~# /arch/setup
Un message d'accueil apparaît alors pour vous informer que la combinaison ALT+F7 permet de consulter le journal de l'installation au cas où...
Faîtes OK.
Le menu d'installation s'affiche alors.
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Select Source
Ensuite s'affiche le menu du choix du média d'installation : soit via cd (c'est-à-dire par le support amovible monté avec les paquets ArchLinux), soit net par un serveur FTP/HTTP.
Si vous choisissez cd, vous passerez directement au menu Set Clock.
Si vous choisissez net, configurez le réseau (Setup Network) et choisissez le miroir d'installation (Choose Mirror).
Lors de la configuration du réseau, l'écran affichera les interfaces réseaux détectées. Sélectionnez celle que vous voulez utiliser. Puis, ArchLinux vous proposera d'utiliser DHCP (protocole réseau dont le rôle est d'assurer la configuration automatique des paramètres IP d'une station) ou de configurer votre réseau manuellement.
Pour DHCP, rien n'est compliqué, il suffit d'attendre que le réseau soit configuré... si DHCP en trouve un.
Si vous avez choisi la méthode manuelle alors il faudra entrer l'adresse IP, le masque de sous-réseau, l'adresse de diffusion, l'adresse IP de la passerelle, le serveur DNS ainsi que l'adresse du proxy (laisser le champ libre si vous n'en n'utilisez pas).
Dans tous les cas, pour tester le réseau, tapez :
code :
Copy to clipboard
~$ ping www.linuxmao.org
Faîtes CTRL+C pour arrêter le processus.
Si vous avez opté pour la netinstall choisissez un miroir pour la France, ex:
Copy to clipboard
http://mir.archlinux.fr/
Set Clock
Rien de bien compliqué ici, il suffit de choisir le bon fuseau horaire puis de régler l'horloge matérielle. Vous aurez alors le choix entre UTC et localtime. Choisissez de préférence UTC car votre horloge sera configurée sur le système GMT (temps moyen de Greenwich) au lieu d'être configuré par l'heure locale de votre ordinateur.
La fenêtre suivante vous propose de régler l'heure et la date soit par ntpd (daemon)(si votre réseau est configuré et que vous avez accès à Internet), soit manuellement. Attention, ces changements sont nécessaires uniquement si la date et l'heure indiquées ci-dessus sont fausses.
Prepare Hard Drive
❗Le partionnement est une opération qui n'est pas forcément évidente et dont les effets peuvent être irréversibles❗
💡Les exemples donnés (le choix du système de fichiers ou la taille de /) sont donnés à titre purement indicatif. Libre après à vous de fait comme bon vous semble.💡
Plusieurs choix s'offrent à vous :
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Si vous décidez de partionner automatiquement le disque dur (et d'effacer toutes les données dessus), rien de plus simple, sélectionner Auto Prepare. Il vous est demandé successivement le système de fichiers et la taille de /boot, swap, / et /home.Pour /boot, sélectionner les systèmes de fichiers ext2 et 32 Mo de mémoire, c'est largement suffisant. Pour swap, sélectionner le système de fichiers swap et 2 fois votre RAM si elle est inférieure à 1 Go ou la taille de votre _RAM si celle-ci est supérieure à 1 Go. Pour /, (il est conseillé reiserfs plus rapide et stable car pacman gère une quantité de petit fichier) et pour la taille minimum entre 7 et 10 Go voir plus (cela dépendra de votre utilisation). Pour home, sélectionner un système de fichier(ex:ext4) sur l'espace disque restant. Puis confirmez les changements. Si tout se passe bien, vous devriez obtenir le message suivant : "Auto-prepare was successful"
Si vous décidez de partionner manuellement, alors vous devez réfléchir à votre schéma de partion (/boot, /, /home, /var ?). Une fois Manually Partition Hard Drives sélectionné, on vous propose de choisir le support à partitionner (/dev/sda dans la quasi-majorité des cas). Puis vous aurez un écran qui s'affichera (cfdisk) où sont listés vos partions existantes (de là, vous pouvez les supprimer, modifier et créer vos proprers partions pour ArchLinux (en prenant par exemple le schéma de partition automatique comme modèle). Une fois que vous avez créé vos partitions, sélectionnez Write, puis DONE.
Ceci fait, sélectionner manually Configure block devices, puis /dev/sd(x) (là où vous avez créé vos partitions). L'écran affichera le menu de gestion des disques où les modifications faites seront listées. Sélectionnez une à une chaque partitions réservées pour ArchLinux (ex: sda1,sda2,sda3,sda4) et renseignez vos points de montage : /, swap, /boot, /home... pour chaque partition. Une fenêtre vous demandera si vous voulez spécifier des actions supplémentaires. Sinon, vous pouvez laisser le champ vide.
Select Packages
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Pour ne rien vous cacher, le plus dur est fait en ce qui concerne l'installation d'ArchLinux😎. Ici, vous aurez à choisir quels paquets vous désirez installer (base et/ou base-devel). Base contient les paquets de base d'ArchLinux et base-devel contient les outils de développement (yaourt, makepkg...) ❗Pour base-devel, il faut utiliser la touche flèche bas ou tab et Espace pour sélectionner/désélectionner ❗ |
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Install Packages
Bon ben là... faites Ok pour dire que vous êtes prêt pour l'installation. Puis allez boire un petit café (surtout si vous devez télécharger les paquets avant😁).
Configure System
Allez ! Autre gros morceau de l'installation😕.
Tout d'abord, on vous demande si vous voulez inscrire la configuration du réseau dans les fichiers de configuration... si vous l'avez configuré avant bien entendu, entrez : yes.
Il vous est demandé de choisir l'éditeur de texte en ligne de commande que vous voulez utiliser. Prenez celui dont vous avez l'habitude. Si vous n'en connaissez aucun, prenez nano. C'est le plus simple et ça suffit largement pour le moment. La seule combinaison de touche capitale à connaitre, c'est CTRL+X : elle permet de sauvegarder (en tapant "o" et entrée pour écrire) et quitter.
L'écran suivant vous liste les fichiers de configuration
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Pour /etc/rc.conf : /etc/rc.conf est le fichier central de configuration du système __ArchLinux. Il permet de regrouper plusieurs éléments tels que le chargement de module, le réseau ou encore les services en un seul fichier.
Pour /etc/fstab : à priori, rien à reconfigurer. Pour l'instant, il faut juste vérifier que les partitions d'ArchLinux sont bien présentes.
Pour /etc/mkinitcpio.conf : sauf si vous savez ce que vous faites, ne touchez à rien. Si vous disposez d'un clavier USB, vous pouvez indiquer usbinput dans HOOKS
Pour /etc/modprobe.conf : rien à faire car le chargement des modules s'effectue par /etc/rc.conf
Pour /etc/resolv.conf : si vous avez configuré votre réseau par DHCP, tapez la commande :
code : copier vos dns
Copy to clipboard
~# cp /etc/resolv.conf /mnt/etc/resolv.conf
Si vous avez configuré manuellement votre réseau, rentrez ici les DNS.
Pour /etc/hosts : il faut impérativement vérifier que le nom de votre PC est présent sur la ligne localhost. S'il n'y est pas, c'est que vous avez oublié de le mettre sur la ligne HOSTNAME de /etc/rc.conf.
Pour /etc/hosts.deny et /etc/hosts.allow : le mieux serait de le laisser inchangé sauf évidemment si vous savez ce que vous faites. En tous cas, si plus tard vous voulez gérer des accès réseaux par exemple ssh, vous savez où se trouvent les fichiers.
Pour /etc/locale.gen : enlever le # pour décommenter les locales désirées souvent les lignes fr_FR.UTF-8 UTF-8, fr_FR ISO-8859-1 et fr_FR@euro ISO-8859-15 (pour les francophones).
Pour /etc/pacman.d/mirrorlist : décommentez les miroirs que vous voulez utilisez (pour la France décommentez tous les miroirs français). Le mirrorlist est régulièrement mis à jour (/etc/pacman.d/mirrorlist.pacnew à renommer en mirrorlist) ou utilisez l'outil rankmirrors.
Enfin, il vous reste à sélectionner votre mot de passe root. Pour rappel, si rien ne s'affiche à l'écran lorsque vous tapez votre mot de passe (pas même des *), c'est normal. C'est une vieille tradition dans UNIX. Attention à la casse également😉.
Puis... sélectionnez Return
Install Bootloader
Vous aurez alors le choix entre installer GRUB ou ne pas installer de chargeur de démarrage. Je vous recommande d'installer GRUB tout de même. Démarrer un système d'exploitation sans bootloader, ce n'est pas pratique😂. Et je doute que vous ayez envie d'installer votre propre chargeur (m'enfin on sait jamais...).
Le fichier est normalement déjà rempli. Vous aurez ici plus un rôle de vérification pour vous assurer de la durée d'attente (timeout) et du chemin d'entrée par défaut (default).
Vous pouvez à votre guise rajouter une entrée. D'ailleurs, le fichier décrit comment spécifier une entrée pour GNU/Linux et Windows.
Quittez en sauvegardant (CTRL+X pour nano) le fichier de configuration. GRUB demandera alors où il doit s'installer. Répondez /dev/sda sauf si vous avez installé votre système de manière un peu plus particulière.
Si vous ne disposez pas de système RAID, répondez No à la question suivante.
Vous avez alors fini l'installation😬. Enfin😛. Tapez la commande suivante :
code : redémarrer
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~# reboot
Et entrez de plein pied dans le monde magnifique d'ArchLinux😎
Installer ArchLinux depuis une autre distribution linux
Si vous avez déjà une distribution Linux, l'intérêt de cette méthode est de passer directement par un terminal, sans utiliser de CD ou de clé USB. Il vous faudra une connexion à internet pour télécharger le système.
Les préparatifs
Assurez-vous d'abord d'avoir au moins 5 à 10Gio de libres pour pouvoir installer le système et tous les logiciels dont vous aurez besoin pour la MAO. Préparez aussi au moins une nouvelle partition pour accueillir ArchLinux, et éventuellement d'autres, si par exemple vous désirez avoir votre /home sur une partition à part. Vous pouvez créer et formater ces partitions en ext4 avec gparted par exemple, application graphique présente sur de nombreuses distributions.
Ensuite, il vous faut l'iso archlinux-bootstrap (pas l'autre!), disponible ici : https://archlinux.org/download/
.Pensez à vérifier l'intégrité du fichier avec md5sum par exemple pour éviter les problèmes de téléchargement.
Commencer l'installation
Une fois que la ou les nouvelles partitions sont prêtes, et que vous avez l'iso sous la main, il ne vous reste plus qu'à ouvrir un terminal !
Déplacez le fichier téléchargé là où vous voulez travailler, on va dire dans /tmp, décompressez l'archive et allez dans le dossier qui vient d'apparaître (nommé root.x86_64) :
code : décompresser l'archive
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~# tar xzf archlinux-bootstrap* cd root.x86_64
Sélectionnez ensuite des miroirs à partir desquels seront téléchargés le système et les logiciels. Si vous êtes en France, décommentez les serveurs français (en retirant le "#" en début de ligne)
code : sélectionner les miroirs
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~# gedit /tmp/root_x86/etc/pacman.d/mirrorlist
On va y entrer par chroot, c'est-à-dire que le système sera chargé sur votre machine depuis votre distribution actuelle, directement dans le terminal. C'est un peu comme si vous l'ouvriez dans une machine virtuelle.
code : sélectionner les miroirs
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~# /tmp/root.x86_64/bin/arch-chroot /tmp/root.x86_64/
Initialisez ensuite les clés cryptographiques :
code : initialiser les clés
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~# pacman-key --init pacman-key --populate archlinux
Montez ensuite les partitions que vous avez préparées :
code : monter les partitions pour ArchLinux
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~# mount /dev/sdaX /mnt
C'est le moment de lancer un script qui va télécharger et construire la base d'ArchLinux : pacstrap. Vous pouvez aussi lui donner une petite liste de logiciels à télécharger au début, en les ajoutant à la fin de la commande, en les séparants avec des espaces. Ici, on télécharge aussi linux-firmware et linux-headers, croyez-moi il vaut mieux les prendre. Si vous utiliser le wifi, je vous conseille aussi wpa_supplicant et dhcpcd, pour accéder à internet et télécharger d'autres logiciels ensuite. Et enfin, prenez aussi un éditeur de texte (parce que oui, de base il n'y en a pas), ça vous sera utile pour configurer le système.
Cela donne :
code : télécharger la base d'ArchLinux
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~# pacstrap /mnt base linux linux-firmware dhcpcd linux-headers wpa_supplicant nano
Votre système ArchLinux est prêt ! Mais avant, il reste un dernier détail, générer un fichier fstab :
code : générer un fstab
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~# genfstab -U /mnt >> /mnt/etc/fstab
Maintenant, on peut "chrooter" dans ArchLinux :
code : chrooter
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~# arch-chroot /mnt
À ce moment-là, vous pouvez utiliser le gestionnaire de paquet pacman si vous avez oublié d'installer un paquet et que vous le voulez installé quand vous redémarrerez sur ArchLinux (vous pouvez déjà installer sudo, par exemple).
Vous pouvez ensuite configurer l'heure et la langue selon vos préférences, on va supposer que vous voulez un système en français et que vous habitez en France :
code : fuseau horaire et heure système
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~# ln -sf /usr/share/zoneinfo/Europe/Paris /etc/localtime hwclock --systohc
Avec un éditeur de texte, nano ou vim, par exemple (si vous n'en avez pas installé, vous pouvez le faire maintenant avec pacman -S nano), configurez comme suit :
- Décommentez fr_FR.UTF-8 dans /etc/locale.gen
- Lancez la commande locale-gen
- Ajoutez LANG=fr_FR.UTF-8 dans /etc/locale.conf
- Ajoutez KEYMAP=fr-latin1 dans /etc/vconsole.conf
(- Si vous utiliser un mappage de clavier personnalisé, ajoutez KEYMAP="/usr/local/share/kbd/keymaps/personal.map" avec le nom du mappage personnalisé)
- Écrivez le nom de votre ordinateur (qui sera affiché sur les réseaux) dans le fichier etc/hostname
- Ajoutez votre ip locale dans /etc/hosts :
127.0.0.1 localhost
::1 localhost
Enfin, définissez un mot de passe pour vous connecter en root au démarrage :
code : mot de passe root
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~# passwd
C'est presque terminé ! Vous pouvez fermer le terminal. Mais avant de redémarrer, il reste à faire savoir à GRUB que le nouvel ArchLinux existe. Si vous avez Ubuntu, GRUB est déjà installé, et se montre au démarrage quand vous avez plus d'un système d'exploitation d'installé. Si vous n'avez pas GRUB, il est recommandé de l'installer.
Quittez l'environnement de chroot ou fermez le terminal et relancez-le, puis mettez à jour la liste des OS pour GRUB :
code : mettre GRUB au jus de votre nouvel OS
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~# os-prober update-grub
Et voilà, en redémarrant, vous pourrez sélectionner ArchLinux. Si vous n'êtes pas familier avec l'environnement de GRUB, lisez sa documentation, vous pourrez changer de nombreux paramètres, comme le temps d'affichage avant la sélection du choix par défaut, un fond d'écran, de nouvelles couleurs, etc.
Configuration de base d'ArchLinux
Rappel:
présentation de pacman:
gestionnaire de paquetage pacman
Présentation de Makepkg:
http://wiki.ArchLinux.fr/Makepkg
ABS:
http://wiki.ArchLinux.fr/Abs
AUR:
http://wiki.ArchLinux.fr/AUR
Ajout d'un nouvel utilisateur:
(ici, l'utilisateur "moi", remplacez moi par ce que vous voulez) :code :création/ajout utilisateur
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~# useradd -m -s /bin/bash moi
mot de passe utilisateur(2x):
code : mot de passe utilisateur
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~# passwd moi
"Grouper" l'utilisateur,voir ici:
code :ajouter utilisateur dans groupes
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~# usermod -G users,wheel,audio,optical,lp,scanner,log,power,storage,video moi
D'autres ajouts de goupes sont possibles:
Utiliser les groupes sous Arch Linux
http://wiki.ArchLinux.org/index.php/Groups en anglais
Configuration du réseau
Si vous avez opté pour une netinstall le reseau est déja ok sinon :
Pour voir les interfaces réseaux disponible sur votre machine, tapez la commande suivante :
code : afficher configuration réseau
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~$ ifconfig -a
Comme expliqué dans le /etc/rc.conf:# Use 'ifconfig -a' or 'ls /sys/class/net/' to see all available interfaces.
La configuration réseau de base se trouve donc dans : /etc/rc.conf (section NETWORKING):
Ex (ip statique eth) :
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[...] #NETWORKING # ----------------------------------------------------------------------- # # HOSTNAME: Hostname of machine. Should also be put in /etc/hosts # HOSTNAME="lenomdelabécanne" # Use 'ifconfig -a' or 'ls /sys/class/net/' to see all available interfaces. # # Interfaces to start at boot-up (in this order) # Declare each interface then list in INTERFACES # - prefix an entry in INTERFACES with a ! to disable it # - no hyphens in your interface names - Bash doesn't like it # # DHCP: Set your interface to "dhcp" (eth0="dhcp") # Wireless: See network profiles below # #Static IP example eth0="eth0 192.168.1.7 netmask 255.255.255.0 broadcast 192.168.1.255" #eth0="dhcp" #wlan0="wlan0 192.168.1.8 netmask 255.255.255.0 broadcast 192.168.1.255" #wlan0="dhcp" INTERFACES=(eth0 !wlan0 !ath0) # Routes to start at boot-up (in this order) # Declare each route then list in ROUTES # - prefix an entry in ROUTES with a ! to disable it # gateway="default gw 192.168.1.1" ROUTES=(gateway) [...]
Ex (dhcp):
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[...] eth0="dhcp" #wlan0="dhcp" INTERFACES=(eth0 !wlan0 !ath0) gateway="default gw 192.168.1.1" ROUTES=(!gateway) [...]
Pour le DHCP n'oubliez pas le ! (ROUTES=!gateway) (# - prefix an entry in ROUTES with a ! to disable it)!
La section networking du /etc/rc.conf étant réédité, relancez la nouvelle configuration réseau avec la commande :
code : redémarrer le démon network
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~# /etc/rc.d/network restart
❗Vous avez remarqué "network" est un daemon (rc.conf). Rappel Daemonen.
💡Rajouter un "@"devant network dans ligne des démons du rc.conf réduira considérablement votre temps de boot ! (le @ indique à un démon de démarrer en tâche de fond).
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DAEMONS=(syslog-ng @network @crond alsa mpd)
IP statique : spécifiez vos DNS dans /etc/resolv.conf par ex:
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nameserver 4.2.2.4
En outre vous pouvez configurer le réseau directement dans un terminal :
DHCP :
code : lancer dhcp eth0
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~# dhcpcd eth0 (ou eth1)
IP statique :
code : configurer eth0
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~# ifconfig eth0 <ip address> netmask <netmask> up
Pour configurer manuellement votre passerelle, tapez :
Code : configurer passerelle
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~# route add default gw <ip address of the gateway
Bien entendu, il faudra s'assurer que votre serveur DNS soit contenu dans le fichier /etc/resolv.conf comme vu plus haut.
Si vous voulez vous connecter en Wifi, la chose est un peu plus compliquée,voir ici. Il vous faudra d'abord vérifier que vous disposez du paquet wireless_tools. Tapez en ligne de commande :
code : installer outils wifi
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~# pacman -S wireless_tools
Puis, avec la commande ifconfig vue plus haut, l'interface wifi sera désignée généralement par wlanx (ou x est un nombre) ou parfois par athx pour les possesseurs de carte Atheros. Si à la ligne correspondant à wlan0 ou ath0, vous avez no wireless network, c'est que vous n'avez pas de chance et que votre carte wifi n'est pas reconnue nativement. Vérifiez tout d'abord votre carte wifi avec la commande suivante :
code : lister carte pci
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~# lspci
et voyez sur le wiki officiel avec l'outil ndiswrapper.
❗Attention, pour les possesseurs de carte Atheros, il est conseillé d'installer le paquet madwifi avec :
code : installer madwifi
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~# pacman -S madwifi
Une fois que votre interface réseau est reconnue, tapez la commande suivante pour charger votre carte wifi (caption=code : démarrer le wifi)}~# ifconfig wlan0 up {CODE}
Puis scanner les réseaux wifi disponibles avec :
code : scanner wifi
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~# iwlist wlan0 scanning
Si le réseau wifi est crypté WEP, tapez la commande suivante en remplaçant les <*****> par les informations données par la commande d'au-dessus :
code : configurer wlan0
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~# iwconfig wlan0 mode <mode> channel <canal> key <clé> essid <nom_reseau>
Si le réseau est crypté en WPA, il faudra vous assurer d'avoir l'outil wpa_supplicant :
code : installer wpa_supplicant
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~# pacman -S wpa_supplicant
Ce paquet crée un fichier /etc/wpa_supplicant.conf qui contient un bon nombre d'exemples de configuration. Vous pouvez l'éditer directement ou créer le vôtre. Vous pouvez mettre autant de champs que vous voulez. Ça se connectera au réseau disponible, en testant dans l'ordre d'inscription. Configurez votre réseau comme il se doit et entrez la commande suivante :
code : configurer wpa_supplicant,wlan0
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~# wpa_supplicant -i wlan0 -c /etc/wpa_supplicant.conf
Une fois cela fait, tapez :
code : lancer dhcp
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~# dhcpdd wlan0
Dans tous les cas, pour tester votre connexion, faites :
code :
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~$ ping www.linuxmao.org
Crtl+C pour arrêter le processus.
Vous pourrez plus tard installer un gestionnaire de connexion en GUI par exemple wicd.
Installation et configuration de Xorg
voir: Xorg sur ArchLinux.org-fr(voir aussi la définition de Xorg)
code : installer Xorg
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~# pacman -Sy xorg
Xorg 1.8, hal est déprécié, udev détecte lui même votre matériel. En revanche, n'oubliez pas d'installer evdev.
code : installer evdev
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~# pacman -S xf86-input-evdev
L'utilisation de la commande X -configure générant un xorg.conf n'est plus conseillée/nécéssaire (sauf materiel/carte graphique "particulier"et/ou installation pilote proprio ex: nvidia xconfig).
❗Le clavier en Français (ici avec l'éditeur nano):
code : éditer evdev.conf
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~# nano /etc/X11/xorg.conf.d/10-evdev.conf
On trouve la (2e) section, contenant MatchIsKeyboard "on" et on ajoute juste en-dessous : Option "XkbLayout" "fr"
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Section "InputClass" Identifier "evdev keyboard catchall" MatchIsKeyboard "on" MatchDevicePath "/dev/input/event*" Driver "evdev" Option "XkbLayout" "fr" EndSection
Optionnel : réactiver Ctrl-alt-backspace et activer Compose sur la touche menu :
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Option "XkbOptions" "compose:menu,terminate:ctrl_alt_bksp"
Touchpad synaptics:
code : installer synaptics
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~# pacman -S xf86-input-synaptics
Pilote carte graphique:
connaitre le type de carte:code : lister carte vga
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~# lspci | grep VGA
En fonction de la sortie de commande soit installer le pilote libre:
pilotes libres
soit le pilote proprietaire:
Nvidia
ati
ex:(carte intel)
code : installer pilote intel
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~# pacman -S xf86-video-intel
Installation de l'environnement "graphique"
Vous avez le choix entre differents environnement graphique:http://wiki.archlinux.fr/Cat%C3%A9gorie:Environnement_graphique
Gestionnaire de bureaux (desktop: DE)
gestionnaire de bureaux
Gestionnaires de fenetres: (window managers: WM):
gestionnaire de fenetres personnalisé
WM
Exemple(fluxbox):
code : installer fluxbox
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~# pacman -S fluxbox
Le demarrage de Xorg s'effectue avec la commande:
code : démarrer X
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~$ startx
Avant cela, vous devez modifier votre ~/.xinitrc pour que cette commande (startx) démarre Xorg avec votre environnement "graphique":
Ce dernier par défaut ressemble à :
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#!/bin/sh # # ~/.xinitrc # # Executed by startx (run your window manager from here) # # exec gnome-session # exec startkde # exec startxfce4 # exec openbox-session # exec startfluxbox # ... or any other WM of your choosing ...
Créez/éditez le pour votre utilisateur (/home/utilisateur/.xinitrc)et spécifiez votre DE, WM, ... choisi .
Ex:
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exec startfluxbox
💡Pour une connexion automatique sur Xorg (sans saisir startx):
Dans un premier temps modifiez seulement votre /etc/inittab comme indiqué pour un utilisateur unique(commentez/décommentez suivant):
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id:3:initdefault: [...] x:5:respawn:/usr/bin/xdm -nodaemon
par
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id:5:initdefault: [...] x:5:once:/bin/su moi -l -c "/bin/bash --login -c /usr/bin/startx >/dev/null 2>&1"
Remplacez "moi" par l'utilisateur désigné .
voir: http://wiki.ArchLinux.org/index.php/Start_X_at_boot en anglais.
Entre autre vous pouvez choisir pour un gestionnaire de connexion en mode graphique (kdm, gdm, slim....) à spécifier dans la ligne DAEMONS du /etc/rc.conf
Ex pour kdm:
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DAEMONS=(syslog-ng @network kdm @crond @alsa)
installation et configuration d'ALSA
(voir la page dédiée à ALSA)http://wiki.ArchLinux.org/Alsa(Français)
code : installer utilitaires alsa
Copy to clipboard
~# pacman -Sy alsa-utils
Pour voir si la (ou les) carte est de suite reconnue, faire :
code : afficher carte son
Copy to clipboard
~# cat /proc/asound/cards
Configuration:
code : configurer alsa
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~# alsaconf
Régler les volumes sonores:
code : mixeur alsa
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~$ alsamixer
Tester votre son:
code : tester sortie son
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~$ cat /dev/urandom > /dev/dsp
Si vous entendez: psschtttgruikschweppesenverlan, c'est que ça fonctionne!!!😀
ou:
code : tester haut-parleur
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~$ speaker-test
Tester systeme 5.1:
code : tester systeme 5.1
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~$speaker-test -D plug:surround51 -c 6 -l 1 -t wav
Garder en mémoire les volumes:
code : mémoriser paramètres alsa
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~# alsactl store
Restauration automatique du volume au démarrage:
code : éditer rc.conf
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~# nano /etc/rc.conf
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DAEMONS=(syslog-ng @network netfs crond alsa)
Il faut donc rajouter alsa à la ligne DEAMONS=(…).
Le paquet alsa-oss qui assure la compatibilité ascendante avec les logiciels utilisant OSS.
code : installer alsa-oss
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~# pacman -S alsa-oss
Ajout d'un nouvel utilisateur au groupe audio:
code : ajout au groupe audio
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~# gpasswd -a votreNom audio
Probleme:
Microphone non fonctionnel:
code : installer alsa-firmware
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~# pacman -S alsa-firmware
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Optimisation Pro_Audio:
A voir:http://wiki.ArchLinux.org/index.php/Pro_Audionoyau et applications temps réel
Temps-réel
Vous devez impérativement configurer P.A.M. pour utiliser jack en mode temps-réel
Sous ArchLinux le fichier de configuration est /etc/security/limits.conf
se reporter à la page accès temps-réel pour les application pour savoir comment modifier ce fichier (Obligatoire !!)
http://wiki.archlinux.org/index.php/Realtime_for_Users#PAM-enabled_Login
code : installer pam
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~# pacman -S pam
Limite système
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# /etc/security/limits.conf ... @audio - rtprio 99 # normal 65; jusqu'a 99 @audio - memlock unlimited # RAM divisée par 2; jusqu'a "unlimited" (attention)
Pour activer les paramètres dans /etc/security/limits.conf vous devez utiliser un activant PAM: méthode de gestionnaire de login. Presque tous les gestionnaires de connection graphique sont pam-enabled. Vous pouvez vérifier par la recherche de la ligne connexes /etc/pam.d:
code : vérifier limites pam
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~$ grep pam_limits.so /etc/pam.d/*
Si vous préférez ne pas avoir un gestionnaire de connection graphique, vous devez modifier PAM pour su:
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# /etc/pam.d/su ... session required pam_limits.so
Si vous démarrez depuis un gestionnaire de connexion tel que GDM ou KDM, vous pouvez utiliser PAM pour le démarrer en automatique avec une session, il suffit pour cela de rajouter le connecteur adéquat au service PAM concerné, gdm (/etc/pam.d/gdm) pour GDM et kdm (/etc/pam.d/kde) pour KDM:
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session optional pam_ck_connector.so
Voir aussi:http://wiki.archlinux.fr/Consolekit#M.C3.A9thode_PAM
code : vérifier ulimit
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ulimit -r
irq
irqbalance:
code : installer irqbalance
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~# Pacman-S irqbalance
Question générale (s) avec (temps réel) noyaux:
- Hyperthreading (si vous soupçonnez, désactiver dans le BIOS)
- les questions IRQ peuvent se produire et causer des problèmes.Un exemple est le matériel vidéo se réservant le bus, causant des interruptions inutiles dans le système.
code : compiler rtirq
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~$ yay -S rtirq
Voir la priorité des applications
http://www.latencytop.org/index.php
code : compiler latencytop
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~$ yay -S latencytop
x-runs
- Certains démons / processus peuvent provoquer de façon inattendue xruns. Si vous n'en avez pas besoin tuez les!.
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~$ ls /var/run/daemons #lister démons actifs ~$ top # or htop, ps aux... # lister processus actifs ~$ killall -9 $processname # tuer un processus ~# /etc/rc.d/$daemonname stop #stopper un démon
Si vous êtes face à un grand nombre de xruns en particulier avec NVIDIA, désactivez votre GPU d'étranglement.Cela peut se faire via l'applet de contrôle de la carte et pour nvidia, pour une performance maximale.
❗Pour les disques durs, il est très important que le disque dur servant aux enregistrements soit sur un autre contrôleur (câble) que le disque système.
JACK
Attention chien méchant !^^Se reporter à la page dédiée configuration de jack
L'objectif ici est de trouver la meilleure combinaison possible de la taille du tampon et des périodes, étant donné le matériel dont vous disposez. Pour les dispositifs USB, une période de 3 est toujours un must. En outre, la fréquence d'échantillonnage doit correspondre à la fréquence d'échantillonnage du matériel. Le plus souvent, 48000Hz est le défaut commun à beaucoup de dispositifs d'aujourd'hui. Une zone tampon de 256. En outre, vous pouvez comme pour définir la priorité maximum (au moins 10 inférieures aux limites du système, le plus haut est pour le périphérique lui-même).
Ex:
code : lancer jackd
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~$ /usr/bin/jackd -R -P70 -dalsa -dhw:0 -r48000 -p256 -n3
{QUOTE}
code : afficher échantillon
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~$ cat /proc/asound/card0/codec#0
FireWire
JACK est maintenant construit sans FFADO (actuellement en essais []):code : installer ffado
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~#pacman -S libffado
S'assurer que les modules du noyau appropriés sont chargés:
code : charger module
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modprobe firewire-core firewire-ohci
Pour l'ancienne pile (par exemple, des noyaux personnalisés):
code : charger module 1394
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~# modprobe ieee1394 raw1394
Suis-je dans le groupe vidéo?
code : lister groupe video
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~$ groups | grep video
Ou n'importe quel autre groupe a accès à /dev/fw1 (/dev/raw1394 in old stack):
code : lister groupe pour fw1 ^~$ ls -l /dev/fw1 | awk ' {print $4}'^
code : lister groupe pour fw1
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~$ ls -l /dev/fw1 | awk ' {print $4}'
Vous pouvez également modifier les autorisations pour vos besoins:
code : changer permissions
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~# Chmod 666 / dev/fw1
Compilation noyau customisé.
Si vous allez compiler votre propre noyau, n'oubliez pas que la suppression de modules/options ne consiste pas à un noyau "plus dynamique". Il est vrai que la taille de l'image du noyau est réduite.Vous devriez, cependant, définir votre architecture CPU pour le matériel approprié permettra une bonne partie de l'optimisation.
A savoir aussi que le noyau ArchLinux est déja préemptif (noyau temps réel) donc à vous de voir si vous avez besoin réellement de le recompiler... .
voir le dossier sur la compilation d'un noyau RT
Voir : https://wiki.archlinux.org/index.php/Kernel_Compilation
Depuis AUR vous avez deux options:
kernel26rt
kernel26-rt-ice
Le premier est un noyau temps réel standard, tandis que le second comprend des correctifs que certains peuvent considérer comme être mauvais, alors que pour d'autres c'est une bénédiction(d'autres noyaux RT sont disponibles ex: RTPAE...).
Une fois compilé/installé votre noyau RT n'oubliez de configurer le bootloader (voir plus bas).
Vous pouvez exécuter ABS (l'installer en premier), et de recompiler kernel26 avec le patch. Toutefois, ce n'est pas la plus utile des méthodes car les mises à jour écraserons votre noyau personnalisé pour éviter cela vous devez au moins changer le nom du noyau créé "pkgname".
Méthode simple avec ABS rappel:
code : installer abs
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~# pacman -S abs
code : synchroniser abs
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~# abs
Installer le PKGBUILD nécessaire à la compilation du kernel:
code : installer sources noyau
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~# pacman -S kernel-sources
code : se déplacer dans répertoire local
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~# cd /var/abs/local/kernel-sources
En utilisateur normal!:
code : construction paquet
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~$ makepkg
Vous devez vous assurer de aidez vous ici:
Préemption complête:
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Processor type and features ---> Preemption Mode (Complete Preemption (Real-Time)) ---> ( ) No Forced Preemption (Server) ( ) Voluntary Kernel Preemption (Desktop) ( ) Preemptible Kernel (Low-Latency Desktop) (X) Complete Preemption (Real-Time)
Réglage de la fréquence de l'horloge interne
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Timer Frequency (1000HZ)
Ne pas avoir d'options de débogage:
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Kernel hacking ---> [*] Magic SysRq key #that one is always good to have ;) [ ] Kernel debugging
Installation du nouveau kernel:
ex:
code : installer noyau personnel
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~# pacman -U kernel-RTperso-2.6.xx.pkg.tar.gz
Modification du bootloader grub:
Exemple de configuration de grub: 'fichier /boot/grub/menu.lst':
code : éditer menu.lst
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nano /boot/grub/menu.lst
ex:
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title Arch Linux root (hd0,0) kernel /vmlinuz26-RTperso root=/dev/sda1 ro initrd /kernel26-RTperso.img
Rebootez.
Démarrage!
Une excellente façon de diagnostiquer rapidement votre système et savoir ce qu'il manque pour avoir la prise correcte du mode temps réel:Realtimeconfigquickscan:
https://github.com/raboof/realtimeconfigquickscan
A installer avant:
code : installer perl-tk
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~# pacman -S perl-tk
code : installer le GUI experimental
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~$ git clone git://github.com/raboof/realtimeconfigquickscan.git ~$ cd realtimeconfigquickscan ~$ perl ./QuickScan.pl
Installez vos applications audio préférées par ex:
code : installer paquets audio
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~# pacman -S qjackctl patchage ardour qtractor hydrogen rosegarden qsynth lmms ladspa-plugins dssi-vst
Vous en trouverez multitude d'autres sur AUR que vous compilerez avec yay ou créer vos propres paquets avec d'autres sources.
❗Si pacman ne trouve pas votre paquet, utilisez yay 💡
Comme vous êtes des musiciens partageurs😁 (pacman -Rf hadopi👻):
diffusez votre musique librement via mpd et votre web radio icecast🎅:
http://wiki.ArchLinux.fr/MPD
code : installer démon et clients mpd
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~# pacman -S mpd icecast gmpc mplayer
Ajoutez l'utilisateur mpd au groupe utilisateurs :
code : ajout groupes
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gpasswd -a mpd users
Exemple de /etc/mpd.conf: (avec icecast)
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#An example configuration file for MPD music_directory "~/musique" # Là où se trouve la musique playlist_directory "/home/utilisateur/.mpd/playlists" # Où mettre les playlists db_file "/var/lib/mpd/mpd.db" # La base de données log_file "/home/utilisateur/.mpd/mpd.log" # fichier de log state_file "/home/utilisateur/.mpd/mpdstate" # fichier d'état port "6600" # le port input { plugin "curl" # proxy "proxy.isp.com:8080" # proxy_user "user" # proxy_password "password" } audio_output { type "shout" encoding "ogg" # optional name "zik" host "machin.no-ip.truc" port "8000" mount "/muzik.ogg" password "XXXXX" quality "4.0" # bitrate "96" format "44100:16:2" protocol "icecast2" # optional user "source" # optional description "Koinfozik" # optional # genre "Other" # optional # public "no" # optional # timeout "2" # optional } # # An example of a httpd output (built-in HTTP streaming server): # audio_output { type "httpd" name "My HTTP Stream" encoder "vorbis" # optional, vorbis or lame port "8000" quality "4.0" # do not define if bitrate is defined # bitrate "96" # do not define if quality is defined format "44100:16:2" } #NoUpgrade = etc/rc.d/mpd
code : démarrer démon mpd
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/etc/rc.d/mpd restart
oui c'est un daemon! 😁
N'oubliez pas de le rajouter aux DEAMONS du rc.conf pour le démarrage automatique au boot.
Depuis le client/éditeur par ex:
code : lancer gmpc
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~$ gmpc
Connectez vous sur votre serveur mpd ici exemple avec gmpc en réseau local: (connection, préférence: nom: nomdelabécanne, hôte: ip, port: 6600)
Il existe beaucoup d'autre client (ncmpc, ncmpcpp, dmpc, pms, ario, sonata, qmpdclient ...)
Le client/lecteur:
ex:(ogg)
code : lancer mplayer
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~$ mplayer -demuxer ogg http://machin.no-ip.truc:8000/muzik.ogg
Vous pouvez aussi utiliser votre navigateur favori ou vlc.
Ne reste plus que:
code : compiler cocktail
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~$ yay -S apéro cacahuètes
et le tour est joué ou presque 😉
😎
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